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Alexandre de TerresangVicomteSujet AlliĂ©e ou Ennemie ? [PV AdĂ©laĂŻde.] Mer 23 Jan 2019 - 057 FĂ©vrier 1166Marbrume - RĂ©sidence TerresangQuinze heures et vingt-deux minutesAlexandre se trouvait dans son cabinet Ă rĂ©diger des missives, oui encore et toujours des missives, aux chefs de secteurs de l'Ordre de l'Astre d'Azur, les rĂ©serves devaient se remplir et mĂȘme si les finances Ă©taient au plus haute, il fallait trouver des ressources ... la rĂ©novation des remparts avaient coĂ»tĂ© cher mais qu'importe, ceci Ă©tait fait. Des nĂ©gociations avec la compagnie de pĂȘche des capitaines avaient Ă©tait concluantes et le Vicomte devait trouver d'autres partenaires ... Des nĂ©gociations avaient eu lieu avec le Baron de Sombreval et cela avait tournĂ© Ă la catastrophe quand AdĂ©laĂŻde s'Ă©tait incrustĂ©. Il arrĂȘta d'Ă©crire la missive qui avait pour destinataire, Aymeric de Beauharnais, lorsqu'il repensa aux derniers jours ... AdĂ©laĂŻde et lui avaient eu une sĂ©rieuse discussion, elle lui avait ouvert son coeur mais lui ... comme Ă son habitude, il avait tout fait foirĂ©. Il avait remarquĂ© qu'aprĂšs cela, la jeune demoiselle Ă©tait de moins en moins Ă la rĂ©sidence, on luia avit rapportĂ© sa prĂ©sence Ă une rĂ©sidence nobliaute lors d'une soirĂ©e ... bon sang, comment pouvait-on encore organiser ce genre de fĂȘte alors que la Fange menaçait la citĂ© ? Qu'importe, elle faisait ce qu'elle voulait mais elle avait rencontrĂ© Victor de Rougelac d'aprĂšs ce qu'on lui avait dit ... ce serpent ! Ce renĂ©gat ! Boarf !J'espĂšre qu'il ne s'Ă©tait rien passĂ© mais Alexandre avait d'autre chose en tĂȘte notamment la prĂ©sence d'AdĂ©laĂŻde aux nĂ©gociations avec le Baron de Sombreval, elle se dissipait, elle n'Ă©tait plus la jeune femme qui Ă©coutait depuis que sa soeur Ă©tait morte ... raah, cela enrageait le noble. Il se fit sortir de sa rĂȘverie lorsqu'un serviteur vint lui apporter une missive cachetĂ© du sceau de Rougelac ... depuis leur entrevue alors qu'il Ă©tait toujours avec Dame Kira oĂč il leur avait proposĂ© une alliance contre le Duc, les tensions Ă©taient palpables entre les deux hommes notamment lors de la fĂȘte des offrandes oĂč ils s'Ă©taient entre-croisĂ©s. Il eut un mouvement de recul, devait-il lire cette missive ? Au dĂ©part, il n'eut pas tellement envie mais la curiositĂ© l'emporta et il finit par lire ce piĂšge Ă©crit. AprĂšs la relecture d'une bonne dizaine de fois de la lettre, il demanda Ă voir AdĂ©laĂŻde, cette derniĂšre se trouvait Ă la rĂ©sidence ... il voulait lui parler et quand enfin, il entendit la jeune femme arriver dans le petit bureau en dĂ©sordre du vicomte, ce dernier se trouvait Ă la large fenĂȘtre qui surplombait sa RĂ©sidence et une bonne partie de l'Esplanade, il ne savait plus quoi penser. Il avait sa main droite derriĂšre, appuyĂ© contre son bras gauche auquel il manquait un membre, sa main artificielle Ă©tait sur son bureau, il aimait l'enlever quand il Ă©tait seul, lĂ il l'Ă©tait moins certes mais c'Ă©tait une amie proche qui venait, un membre de sa famille, il n'en avait cure. Il ne quitta pas la vue des yeux et quand la porte se referma enfin, il attendit un instant pour ouvrir la bouche, laissant par la suite AdĂ©laĂŻde s'approcher du bureau parsemĂ© de parchemins."Tu comptais me le dire quand ?"DerniĂšre Ă©dition par Alexandre de Terresang le Jeu 31 Jan 2019 - 1709, Ă©ditĂ© 1 fois AdelaĂŻde de RougelacComtesseSujet Re AlliĂ©e ou Ennemie ? [PV AdĂ©laĂŻde.] Mer 23 Jan 2019 - 2132 Votre honneur, Le Vicomte souhaite sâentretenir avec vous sur le champ. »La Baronne leva soudainement la tĂȘte du document quâelle Ă©tait en train de lire avant dâacquiescer au serviteur. Aucun problĂšme Henry, oĂč est-il? » La rĂ©ponse ne tarda pas. Dans son bureau », La baronne replaça le mĂ©mo quâelle Ă©tait en train de lire et se leva rapidement pour aller rejoindre le Vicomte dans son antre. Des milliers de pensĂ©es lui traversaient lâesprit. Mais de quoi voulait-il lui parler? AprĂšs leur dernier tĂȘte-Ă -tĂȘte et la nĂ©gociation avec le Baron de Sombreval, il ne sâĂ©tait pas rĂ©ellement parlé⊠Elle avait lâimpression que le fait quâelle prenne de plus en plus de place, et le fait quâelle devenait de plus en plus indĂ©pendante dĂ©rangeaient particuliĂšrement le Vicomte. Ătait-ce par jalousie? Se rendait-il compte quâil Ă©tait en train de la perdre? AdelaĂŻde soupira et entra dans la piĂšce. Elle trouva Alexandre, debout devant la fenĂȘtre, perdue dans ses pensĂ©es. Vous mâavez demandĂ©? » Tu comptais me le dire quand ?» Dire quoi? » demanda-t-elle avant de lâinterroger du regard. Puis voyant, quâAlexandre nâavait aucune intention de le regarder, elle retourna son attention sue le bureau en dĂ©sordre du Vicomte. Et quel dĂ©sordre! CâĂ©tait Ă se demander comment ce dernier faisait pour travailler ou mĂȘme organiser lâordre dans un tel fouillis! AdelaĂŻde balaya rapidement le bureau du regard puis sâarrĂȘta rapidement lorsquâelle vit le parchemin avec le sceau du Comte de Rougelac. La jeune femme arrĂȘta carrĂ©ment de respirer, comme si le monde sâĂ©tait arrĂȘtĂ© autour dâelle. Il avait donc mis sa menace Ă exĂ©cution. Elle avait eu le faible espoir que ce dernier se serait peut-ĂȘtre lassĂ© dâelle et quâil Ă©tait passĂ© Ă autre chose, mais non. Le Comte avait passĂ© Ă lâattaque, et il Ă©tait loin de laisser sa nouvelle proie partir. Combien de temps Ă©tait-elle restĂ© ainsi immobile? Quelques secondes tout au plus, quelques secondes tout au plus, mais qui sembla avoir durĂ© une Ă©ternitĂ© pour la Baronne. Elle se dĂ©cida finalement Ă attraper la missive, et la parcourut rapidement. Il Ă©tait futĂ© le Comte, non seulement protĂ©geait-il ses arriĂšres, mais la lettre Ă©tait pleine de double sens. Double sens que mĂȘme Alexandre semblait avoir compris. AdelaĂŻde se retourna rapidement vers Alexandre, on pouvait voir lâinquiĂ©tude sur son visage. Comment ce dernier avait-il pris la nouvelle? Comment lui parler? Il ne servait Ă rien dâĂȘtre agressif, il ne ferait que rendre la pareille. AdelaĂŻde prit rapidement la missive, et se dirigea rapidement vers Alexandre, sâarrĂȘtant que lorsquâelle fut Ă cĂŽtĂ© de lui. Je te lâaurais dit une fois que jâaurais eu terminĂ© de nĂ©gocier. » Regarde-moi », dit-elle en mettant sa main sur la joue dâAlexandre pour attirer son regard dans le sien. La jeune femme tenta tant bien que mal de dĂ©chiffrer le regard de son beau-frĂšre, mais elle avait du mal. Ătait-ce de la dĂ©ception? De la colĂšre? Mieux valait le rassurer le plus rapidement possible question dâapaiser la colĂšre qui pourrait gronder en son suzerain; Tu mâas donnĂ© un mandat Ă accomplir, Alexandre. Celui dâagrandir les commerces et ainsi remplir les coffres de lâastre. Ma stratĂ©gie nous permettra non seulement dâacquĂ©rir les fonds nĂ©cessaires, mais aussi de contrĂŽler une bonne partie des fabriques dâarmements. Je le sais que tout semble⊠disons hors de contrĂŽle. Mais je tâen prie. » AdelaĂŻde lĂącha finalement la joue dâAlexandre pour aller saisir sa main valide et la porte Ă ses lĂšvres, avant de donner un lĂ©ger baiser sur cette derniĂšre. Fais-moi confiance. » Elle releva ensuite son regard azurĂ© vers son suzerain, sans lĂącher sa main. Son regard Ă©tait inquiet, sincĂšre, jamais elle ne lui ferait quoi que ce soit qui pourrait lui faire du mal, et ce, mĂȘme sâil lui avait brisĂ© le cĆur il y a de cela a quelques semaines. Elle Ă©tait Ă lui et Ă personne dâautre. Je tâai toujours Ă©tĂ© loyal, ce nâest pas parce que je vole de mes propres ailes depuis quelques mois que tu dois en douter. » Alexandre de TerresangVicomteSujet Re AlliĂ©e ou Ennemie ? [PV AdĂ©laĂŻde.] Mer 23 Jan 2019 - 2201 Alexandre prit la rĂ©ponse avec Ă©tonnamment de calme pour une personne qui bouillait en son fort intĂ©rieur. Quand le Vicomte avait senti la prĂ©sence de la jeune baronne, ce dernier n'avait qu'une envie lui cracher son venin au visage, lui dire ce qu'il pensait de tout cela, lui dire que jouer les intriguantes alors qu'elle Ă©tait sous SON toit n'avait pas lieu d'ĂȘtre mais il sentit le souffle chaud de la jeune demoiselle sur sa nuque quand elle s'approcha et lui prit la main pour lui demander de la regarder ... bon sang. Il se rĂ©signa, il la regarda mais avec une mine mĂȘlĂ©e de dĂ©ception, de tristesse, de ... peur ? Oui, peut ĂȘtre de peur. Peur de perdre ce qui restait de sa femme, peur de perdre le seul ĂȘtre qui le comprenait ou qui l'avait compris ... elle Ă©tait si jeune mais Ă©galement si expĂ©rimentĂ© Ă la fois, Alexandre pensait par lĂ qu'elle avait eu son lot d'intrigues pour une vie alors que le Vicomte s'Ă©tait toujours tenu Ă l'Ă©cart de ces maniĂšres nobliaute qu'il n'aimait pas ! Cette maniĂšre de se servir, cette maniĂšre de penser Ă soi et uniquement Ă soi ! Bon sang, ça y'est ... Alexandre ressentait encore ce vide froid Ă l'emplacement de l'estomac, il ressentait de la colĂšre, il fulminait Ă l'intĂ©rieur mais il n'avait pas encore dĂ©cidĂ© de dĂ©verser sa rage. Elle donna pour seule excuse, le fait que Alexandre lui avait demandĂ© de faire en sorte que l'Ordre ne manque de rien ... que l'Astre avait besoin de partenaires commerciaux pour survivre, que l'Azur avait besoin d'Ă©quipement mais là ça sentait l'entourloupe Ă plein nez ... ça sentait la merde du Rougelac jusqu'ici ! Raaah ! Il se dĂ©gagea de l'Ă©treinte de la Baronne qu'elle avait apposĂ© Ă sa main valide, d'une maniĂšre brutale mais non violente, il contourna alors le bureau et reprit la lettre dans sa main. " Voyez-vous cher ami, ai-je fait rĂ©cemment la rencontre d'une de vos proches, par deux fois si je puis prĂ©cisĂ© cet anecdotique dĂ©tails. Nos entretiens furent riches en enseignements et je crois savoir que vous ĂȘtes dĂ©cisionnaire de certains de ces projets." Lut-il Ă haute voix Ă la jeune baronne qui Ă©tait restĂ© Ă la fenĂȘtre, sur un ton aussi dur que de la pierre. Il la regarda sans un sourire. "Qu'est ce que je dois comprendre ? Vous vous ĂȘtes vu chez ce merdillon de nobliau qui a fait cette fĂȘte alors que le peuple meurt de faim dans les bas quartiers et qu'ensuite tu as Ă©tait chez lui dans l'une de tes robes qui veut tout dire pour festoyer avec assez de nourriture pour qu'un charpentier de l'Ordre puisse manger pendant 6 mois ?"Il reposa la lettre sans vraiment la reposer mais plutĂŽt en la jetant comme un vulgaire papier sur le bureau. Il la regarda sans un sourire, sans une once d'Ă©motion dans son regard mais on pouvait y lire une certaine dĂ©fiance, une peur bleue. "Je t'ai effectivement demandĂ© tout cela; je t'ai demandĂ© d'aider l'Ordre mais je ne t'ai aps dis d'aller voir cet enflure de premiĂšre classe ! De ne pas aller pactiser avec un dĂ©mon ! Victor de Rougelac est l'une des pire raclure de cette CitĂ©, il est ce que la noblesse d'autrefois faisait de pire ! Si tu lui demande quelque chose ... tu lui donne ta main, il te prend le bras et plus si besoin !"Il se tourna alors, son bras gauche Ă©tait en position comme si sa main touchait sa hanche et il fit mine de bouger de droite Ă gauche. Il la pointa alors de son index. "Que veux t-il ? Que souhaite t-il ? Car, mĂȘme si il explique si subtilement qu'il veut ta main, il veut forcĂ©ment autre chose !" AdelaĂŻde de RougelacComtesseSujet Re AlliĂ©e ou Ennemie ? [PV AdĂ©laĂŻde.] Jeu 24 Jan 2019 - 2245 La rĂ©action dâAlexandre la surprit. Non seulement il se dĂ©tacha brusquement dâelle. Mais son ton et son regard changĂšrent, il Ă©tait furieux et il dĂ©versait son venin sur elle. Mais il toucha une corde sensible⊠Sa robe qui voulait tout dire? Alexandre nây allait pas de main morte, formulant reproche aprĂšs reproche Ă la Baronne. Si sa premiĂšre rĂ©plique heurta passablement la jeune femme, le reste la mit en colĂšre. Pour qui la prenait-elle? Pour une catin qui vendait son corps au plus offrant? Non, mais! CâĂ©tait lui qui essayait de la vendre en ce moment pour soutirer le plus pour son ordre! Car soyons honnĂȘte, câĂ©tait carrĂ©ment ce qui se passait en ce moment. Il la vendait Ă celui qui lui ferait la meilleure offre⊠Celui qui avantagerait le plus lâordre. Si ce nâĂ©tait pas Ulysse et sa bande de mercenaires, cela serait certainement quelquâun qui a de lâargent! AdelaĂŻde rĂ©alisa soudainement quâAlexandre nâen avait absolument rien Ă faire dâelle, mais quâil se servait dâelle comme un vulgaire pion. La baronne serra des poings pour contenir la rage qui lâenvahissait soudainement. Comment oses-tu me parler ainsi?! AprĂšs tout ce que jâai fait pour toi! » AdelaĂŻde sâapprocha rapidement dâAlexandre pour sâarrĂȘter Ă un souffle de ce dernier, plantant son regard dĂ©fiant dans celui empli de colĂšre de son suzerain. Tu crois que je suis une catin peut-ĂȘtre? Que je me donne au plus offrant?! Puis-je te rappeler que câest TOI qui essaie de me vendre au plus offrant, tout ce qui tâimporte est lâordre et rien dâautre. » AdelaĂŻde secoua doucement la tĂȘte, non sans lĂącher le regard dâAlexandre. Et dire que jâai Ă©tĂ© assez idiote pour penser que je comptais pour toi. Tu peux parler comme tu veux au sujet de la Noblesse et de leur façon de faire, alors que tu viens de passer les treize derniĂšres annĂ©es Ă me manipuler. FĂ©licitations, tu fais maintenant partie de ceux que tu dĂ©testes.» AdelaĂŻde se recula, avant de tourne le dos Ă Alexandre pour aller prĂšs de la cheminĂ©e. Un feu brulait dans lâĂątre, elle tendit les mains comme pour se rĂ©chauffer. Mais ce nâĂ©tait quâun leurre. Elle sentait les larmes qui lui montaient aux yeux, de rage ou de tristesse? Peu importe, elle ne voulait pas quâAlexandre la voie ainsi, faible, et le cĆur brisĂ©. La baronne reprit un ton posĂ©, froid. Ce quâil veut câest simple, le beurre et lâargent du beurre. » AdelaĂŻde ravala ses larmes et se retourna pour faire face Ă Alexandre. Il me veut moi, et ma dote. Il veut me contrĂŽler, mais aussi contrĂŽler mes avoirs. » Son visage Ă©tait vide dâĂ©motion, comme si rien ne lui passait par la tĂȘte. Mais elle Ă©tait dans un dilemme. Devait tout lui dire? OĂč devait-elle conserver son secret? En ce moment, elle ne savait pas ce qui se passait dans la tĂȘte dâAlexandre, surtout depuis le dĂ©but de cette altercation. Et vous lâavez dit vous-mĂȘme, si vous lui donner pas ce quâil veut, il trouvera une façon de lâavoir quand mĂȘme.» Un lĂ©ger indice, pour lui faire comprendre que la situation Ă©tait beaucoup plus complexe de ce que le Vicomte pensait. Si elle ne faisait que partager la derniĂšre rencontre qui avait eu lieu entre elle et le Comte de Rougelac, elle nâaurait lâair que dâune victime prise au piĂšge et surtout il apprendrait un de ses secrets. Par contre, sâil lui faisait assez confiance, elle lui dirait tout son plan, un plan compliquĂ©, mais quâil fonctionnerait Ă merveille. Alexandre de TerresangVicomteSujet Re AlliĂ©e ou Ennemie ? [PV AdĂ©laĂŻde.] Ven 25 Jan 2019 - 2234 Il soutenait le regard de dĂ©fiance que la jeune baronne lui dĂ©livrait, un regard emplit de colĂšre qui entrait en symbiose avec le sien qui Ă©tait toujours aussi noir d'Ă©nervement. AdĂ©laĂŻde osait lui parler comme Ă un servant, lui, le Vicomte de Terresang, son suzerain mais aussi son beau-frĂšre, celui qui avait fait en sorte qu'elle ne manquerait de rien durant toute ces annĂ©es. Alexandre se sentait mal, il avait une boule dans la gorge, lui, le Vicomte qui savait garder son sang froid Ă©tait entrain de pĂ©ter une durite dans ce bureau. "Tu oses me parler comme le dernier des chiens, lĂ ? Je ne suis pas un clĂ©bard, je ne suis pas un homme comme els autres, AdĂ©laĂŻde et ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dis !"Il dĂ©fia alors la demoiselle de son regard gris perçant, elle osait parler de son Ordre, l'organisation qu'il avait fondĂ© pour aider le peuple de cette citĂ©, le peuple qui mourrait de faim alors que des gens comme le Rougelac osait manger l'Ă©quivalent de 3 repas pour un paysan en une journĂ©e !"L'Ordre est plus important que n'importe qui ! Que cela soit envers Bertrand, Kira que j'ai rĂ©pudiĂ© pour ne pas salir la rĂ©putation de MON Ordre, il est plus important que toi !" Dit-il en la pointant d'un doigt menaçant. "Il est plus important que mes hommes d'armes, plus important que ma propre vie ! Je mourrais sans hĂ©siter pour aider le peuple de Marbrume !"Il se recula alors, il mĂ©dita sur le fait qu'il Ă©tait devenu peut ĂȘtre la pire des ordures de cette noblesse qu'il dĂ©testait mais tout cela Ă©tait faux! Ce n'Ă©tait pas lui qui trempait Ă l'heure actuelle dans une quelconque intrigue ! Ce n'est pas lui qui allait aux mondanitĂ©s ... Alexandre se pensait plus comme un pion sur un Ă©chiquier que le maĂźtre du jeu. "Je ne suis pas un mondain, je ne suis pas dans tes intrigues de cours et je n'y participerais jamais. Une guerre se passe sur le champ de batailles pas en coulisses." Dit-il alors sur un ton grinçant. C'est alors que AdĂ©laĂŻde lui rĂ©vĂ©la ce que Victor de Rougelac convoitait, ainsi ... il voulait la fortune des Nerra mais aussi contrĂŽler AdĂ©laĂŻde ... ainsi il pensait probablement contrĂŽler Alexandre ... il fallait faire quelque chose mais connaissant la demoiselle, le Vicomte savait qu'elle avait probablement un plan mais il n'aimait pas entretenir quelconque complot. Il se calma alors et se dĂ©tendit dans ses positions, il ne sourit pas pour autant et il avait toujours des Ă©clairs dans son regard. "Qu'as-tu en tĂȘte ?" AdelaĂŻde de RougelacComtesseSujet Re AlliĂ©e ou Ennemie ? [PV AdĂ©laĂŻde.] Sam 26 Jan 2019 - 019 Ces mots lui avaient fait mal⊠Tellement mal. Peut-ĂȘtre quâAlexandre Ă©tait furieux de la façon quâelle lui avait parlĂ©, mais il le mĂ©ritait. Comment avait-elle fait pour aimer cet homme? Et pourquoi lâaimait-elle toujours autant? Elle avait tout ce que ce dernier dĂ©sirait, une fortune, une tĂȘte sur les Ă©paules⊠et pourtant ça ne semblait pas assez. AdelaĂŻde encaissa les paroles du Vicomte sans rien dire, le visage sans Ă©motion. Câest dans des moments comme celui-ci quâelle aurait aimĂ© ĂȘtre une de ses femmes idiotes de la Noblesse, car câĂ©tait dĂ©finitivement la meilleure chose qui aurait pu lui arriver dans ce monde cruel. Ătre une belle idiote⊠cela lui aurait donner une vie beaucoup moins compliquĂ©. AdelaĂŻde dĂ©via son regard pour regarder le seul, tentant de reprendre le cours de ses idĂ©es et ne pas laisser la colĂšre la contrĂŽler.Qu'as-tu en tĂȘte ?»La baronne releva la tĂȘte vers le Vicomte, et posa son regard azurĂ© dans le sien. Plusieurs choses⊠Lâart de la nĂ©gociation est de sâadapter aux Ă©preuves et aux demandes des autres. » La jeune femme soupira, avant de retourner vers la fenĂȘtre. Observant les gens qui marchaient et continuaient leurs activitĂ©s, sans se douter du drame qui se passait dans la rĂ©sidence prĂšs dâeux. Mon premier but Ă©tait dâacquĂ©rir une partie de sa fabrique dâarbalĂštes, et dâinvestir dans son agrandissement et diversifier les activitĂ©s. Cela nous aurait permis dâavoir des armes facilement pour lâordre. » Et voilĂ , elle venait de toucher la corde sensible de son suzerain sans le vouloir⊠mais elle avait bien spĂ©cifiĂ© quâelle avait fait toutes ses dĂ©marches pour lui et personne dâautre. Mais le Comte est entrĂ© dans mon jeu et a dĂ©cidĂ© de me coincer lors de notre deuxiĂšme tĂȘte Ă tĂȘte. » Elle ouvrit doucement sa main et Ă©carta lĂ©gĂšrement les doigts en posant son regard sur cette derniĂšre. Câest un peu de ma faute, je cherchais Ă avoir ses motivations pour le dĂ©jouer et maintenant il me tient dans le creux de sa main. » Elle referma doucement sa main, avant de se retourner lĂ©gĂšrement vers Alexandre; Il mâa demandĂ© ma main et ma dote. Ma proposer de jouer une partie beaucoup plus complexe. Et si tu refusais de lui offrir ce quâil veut, il me demande dâinvestir le montant Ă©quivalent Ă ma dote dans sa fabrique, en rĂ©duisant mes profits bien entendu.» Elle posa finalement son regard dans celui dâAlexandre; Je ne vois que deux options a ce problĂšme. La premiĂšre est que tu le rencontres et nĂ©gocie un quelconque arrangement pour lâordre. Il pense pouvoir nous contrĂŽler, mais il se trompe. On ne tourne pas le dos Ă sa famille, et ce, mĂȘme si lâon nâest pas dâaccord avec eux.» Dit-elle en regardant son ancien amant dans les yeux. En mĂȘme temps, cela nous permettra dâavoir ce dont nous avons besoin, de lâargent et des armes.» Elle baissa les yeux, en fronçant lĂ©gĂšrement les sourcils. Cela voulait aussi dire quâelle serait prise dans un mariage sans amour â ou les intrigues et les guerres de pouvoirs seraient monnaie courante. Mais si Alexandre parvenait Ă nĂ©gocier un quelconque arrangement⊠Il aurait une chance de rapporter Ă©normĂ©ment pour lâordre. AdelaĂŻde soupira pour relever le regard vers son Alexandre avant de continuer; La deuxiĂšme option est beaucoup plus longue. Je sais que nous voulions nous concentrer sur lâimportation des minerais des mines du labret. Pour faire des armes, nous avons besoin de ses matĂ©riaux. En offrant Ă Victor un accĂšs Ă cette marchandise, il pourrait trĂšs bien revoir lâoffre et ĂȘtre apte Ă nĂ©gocier. Ce qui voudrait dire que je serais moins perdante. Les ressources se font de plus en plus rares- câest hideux comme pensĂ©, mais câest le moment dâen profiter. Si tu me laisses nĂ©gocier cette deuxiĂšme option, je peux te garantir que nous aurons aussi un avantage. Il sera moins grand que le premier certes, mais nous aurons un accĂšs facile aux armes quâil fait et un partenariat commercial avec un des hommes les plus riches de Marbrume.» Certes il y avait une partie quâelle avait omise dans la deuxiĂšme option, notamment comment elle forcerait la main a son adversaire, mais il y avait des choses que lâon devait garder secrĂštes. AdelaĂŻde alla sâasseoir sur un des canapĂ©s qui ornaient le bureau non sans dĂ©vier son regard du Vicomte. Au final, la dĂ©cision est vĂŽtre.» Sa vie reposait entre ses mains, il ferait bien ce qui lui plairait, de toute façon elle n'Ă©tait rien d'autre qu'un pion pour lui, il lui avait bien fait comprendre. Alexandre de TerresangVicomteSujet Re AlliĂ©e ou Ennemie ? [PV AdĂ©laĂŻde.] Dim 27 Jan 2019 - 1921 Alexandre Ă©couta alors attentivement ou presque, les justifications de la baronne. La demoiselle semblait avoir rĂ©flĂ©chi Ă tout mais le Vicomte ne voyait pas cela d'un bon Ćil, il alla vers la cheminĂ©e oĂč il trouvait un soudain intĂ©rĂȘt au feu qui crĂ©pitait dans l'Ăątre tout en Ă©coutant l'argumentation de la baronne de Nerra. Il Ă©tait pas dupe, il savait que AdĂ©laĂŻde faisait cela pour qu'il trouve son intĂ©rĂȘt mais Alexandre n'avait pas refonder l'Ordre pour qu'il devienne une organisation militaire ⊠c'Ă©tait l'un de ces buts il voulait bien l'avouer. Il souhaitait amasser le plus d'hommes possible, les armer et les envoyer contre le Duc lorsque la milice serait occupĂ©e ailleurs ⊠il voulait venger sa femme -Alice pas Kira-, sa fille qui selon ses informateurs n'Ă©tait peut ĂȘtre pas morte ⊠mais qu'importe, il y avait plus urgent aujourd'hui, il y allait de la survie du peuple MarbrumĂ©en et entre parenthĂšse de la survie de l'HumanitĂ©. Il n'avait donc que faire de ces armes mais elles pouvaient bien servir pour quelque chose ⊠on pouvait peut ĂȘtre les entreposer pour plus tard. Terresang se dĂ©tourna du feu pour reprendre son attention sur la baronne, avait-il bien entendu ? Le Rougelac voulait la main de AdĂ©laĂŻde ? ⊠Alexandre ne souriait pas mais il avait sa tĂȘte de quand il rĂ©flĂ©chissait ⊠Il n'avait pas l'air d'un pauvre mendiant qui allait quĂ©mander de l'argent mais d'un autre cĂŽtĂ© Victor Ă©tait une ordure, une fripouille, un coquin de la pire espĂšce, les rumeurs n'Ă©taient pas bonnes Ă son sujet et Alexandre savait ce qu'il avait voulu faire par le passĂ© contre le Duc ⊠il n'avait pas acceptĂ© car cela Ă©tait risquĂ© tout bonnement mais aujourd'hui peut ĂȘtre cherchait-il Ă se racheter ⊠non ! Un homme comme cela ne changeait pas ! Il Ă©couta alors les options de la demoiselle, il se disait qu'elle en avait dans la tĂȘte ⊠il se disait qu'il avait probablement fait une belle idiotie de vouloir la marier avec quelqu'un mais c'Ă©tait trop tard, il ne pouvait plus revenir en arriĂšre. Il regarda la demoiselle dans les yeux et eut un demi-sourire. Tu as de bonnes idĂ©es, AdĂ©laĂŻde. » Il eut une pensĂ©e pour sa femme, elle Ă©tait comme sa sĆur ⊠elles se ressemblaient tellement avec autant d'Ă©cart et pourtant. Alice aurait probablement eu la mĂȘme pensĂ©e que toi, AdĂ©laĂŻde. » Il se remit Ă observer le feu ⊠il devait trouver une idĂ©e⊠et il en avait une. Nous pouvons probablement jouer sur ces deux solutions mĂȘme si l'idĂ©e de te marier Ă ce salopard me dĂ©goĂ»te au plus haut point ⊠mais il y va de notre survie. » Il se tourna vers la jeune femme. Je te charge de faire ce que tu as dis, trouve oĂč il trouve ses ressources, tu as carte blanche et accĂšs aux coffres de la RĂ©sidence ⊠emploie tout les moyens possibles, TOUS! Sans exceptions⊠que cela soit lĂ©gal ou non, je veux tout savoir ⊠quant Ă moi, je vais lui rĂ©pondre d'une maniĂšre qu'un noble comme lui va comprendre. » AdelaĂŻde de RougelacComtesseSujet Re AlliĂ©e ou Ennemie ? [PV AdĂ©laĂŻde.] Dim 27 Jan 2019 - 2105 LâatmosphĂšre Ă©tait devenue bien tendue alors que la Baronne regardait son suzerain qui semblait bien concentrer sur le feu qui dansait dans la cheminĂ©e. Allait-il lui demander comment il lâavait coincĂ©? AprĂšs tout câĂ©tait une des premiĂšres choses quâelle aurait faites. Elle resta silencieuse, sachant que ce dernier rĂ©flĂ©chissait Ă ses plans, puis ce dernier se retourna pour finalement lui dire quâelle avait de bonnes idĂ©es. Ă cette remarque, la jeune femme ne broncha pas. Mais ce fut la seconde rĂ©plique qui la fit sourire. Alice aurait probablement eu la mĂȘme pensĂ©e que toi, AdĂ©laĂŻde. »La jeune femme baissa le regard, pour observer un peu plus les motifs du tapis qui ornait la piĂšce. La tristesse orna soudainement son visage, avant quâelle ne rĂ©ussisse Ă se ressaisir et releva le regard pour le planter dans celui dâAlexandre Alice Ă©tait mon idole, elle mâa tout appris.» Puis elle se releva doucement avant de lever lĂ©gĂšrement le menton. Câest grĂące Ă elle que je suis la personne que je suis aujourdâhui. Je suis restĂ© trop longtemps dans votre ombre. Câest Ă mon tour de briller.» RĂ©pondit-elle le plus sĂ©rieusement possible. AdelaĂŻde voulait quâil lui fasse confiance, elle Ă©tait prĂȘte Ă relever ce dĂ©fi, prĂȘte Ă contrĂŽler Victor. Que cela soit dans un mariage forcĂ© ou dans une entente commerciale. Le mariage ne lâenchantait pas, mais cela ouvrait des possibilitĂ©s hors du commun pour leur famille et Alexandre lâavait dit lui-mĂȘme â ils devaient survivre. Nous pouvons probablement jouer sur ces deux solutions mĂȘme si l'idĂ©e de te marier Ă ce salopard me dĂ©goĂ»te au plus haut point ⊠mais il y va de notre survie. Je te charge de faire ce que tu as dit, trouve oĂč il trouve ses ressources, tu as carte blanche et accĂšs aux coffres de la RĂ©sidence ⊠emploie tous les moyens possibles, TOUS! Sans exception⊠que cela soit lĂ©gal ou non, je veux tout savoir ⊠quant Ă moi, je vais lui rĂ©pondre d'une maniĂšre qu'un noble comme lui va comprendre. »AdelaĂŻde resta de marbre devant lâaffirmation â pardon- lâordre de son suzerain. Parce que tu crois que je nâai pas dĂ©jĂ commencĂ©? Ait un peu confiance en moi, Alexandre. Mes pions Ă©taient en place quelques heures aprĂšs notre derniĂšre rencontre. » La jeune femme fit quelques pas en avant pour sâarrĂȘter devant Alexandre, et leva doucement la tĂȘte pour planter son regard azurĂ© dans le sien. Mes pions Ă©taient bien en place avant cette discussion. » Elle sâarrĂȘta et fronça doucement les sourcils avant de baisser la tĂȘte. Si vous me le permettez, je vais me retirer. Jâai une nĂ©gociation Ă prĂ©parer.» AdelaĂŻde contourna Alexandre sans lui adresser un autre regard, puis sortit de la piĂšce. Elle devait prendre contact avec Covalt pour voir ce quâil avait dĂ©couvert⊠Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumDeplus, la PrĂ©fecture du Pas-de-Calais met en garde sur les risques liĂ©s Ă la pĂȘche Ă lâaimant, pratique qui tend Ă se dĂ©velopper. Les Ă©quipes de dĂ©minage sont de plus en plus souvent sollicitĂ©es dans lâurgence pour la dĂ©couverte de munitions suite Ă la pratique de la« pĂȘche Ă lâaimant» dans les cours dâeau, canaux lacs
L'Aimant est un type d'AppĂąt qui double les chances de trouver des Coffres au trĂ©sor durant la pĂȘche 30% de chance au lieu de 15% de base. Il peut ĂȘtre FabriquĂ©, achetĂ© Ă la Poissonnerie pour 1 000po aprĂšs avoir atteint le Niveau de pĂȘche 9, achetĂ© au Magasin du Casino pour 1 000, ou reçu comme prix pour avoir gagnĂ© le concours de pĂȘche du Festival des Glaces. Il peut aussi ĂȘtre reçu comme cadeau de Willy Ă la FĂȘte de l'Ătoile Hivernale, et peut aussi ĂȘtre alĂ©atoirement vendu par Krobus le Mercredi. Le Chariot de voyage peut alĂ©atoirement en vendre pour 100-1 000po. Contrairement aux autres appĂąts, l'aimant ne peut pas ĂȘtre utilisĂ© dans les Casiers Ă crabes. Comme les autres appĂąts, l'aiment ne peut ĂȘtre utilisĂ© qu'une seule fois. Contrairement Ă sa description, l'aimant ne rĂ©duit pas la frĂ©quence de poissons qui mordent. Cadeau RĂ©actions des villageois DĂ©testent Abigail âą Alex âą Caroline âą Clint âą Demetrius âą Elliott âą Emily âą Evelyn âą George âą Gus âą Haley âą Harvey âą Jas âą Jodi âą Kent âą Krobus âą Leah âą Lewis âą Linus âą Marnie âą Maru âą Nain âą Pam âą Penny âą Pierre âą Robine âą Sam âą Sandy âą Sebastian âą Shane âą Sorcier âą Vincent âą Willy Paquets L'aimant n'est utile Ă aucun Paquet. QuĂȘtes Il n'est utile Ă aucune quĂȘte. Notes MĂȘme s'il peut ĂȘtre achetĂ© Ă la Poissonnerie pour 1 000po, fabriquer un aimant est une option moins coĂ»teuse mĂȘme si on achĂšte les ingrĂ©dients. A la premiĂšre annĂ©e, 5 Minerais de fer et 1 Charbon coĂ»tent 900po chez le Forgeron 300po par aimant. DĂšs l'annĂ©e 2, 5 minerais de fer et 1 charbon coĂ»tent 1 500po 500po par aimant. Revenir gagnant des mini-jeux du Casino peut aussi offrir des aimants gratuits au magasin du Casino. Ăquipement Artisanal Bocal âą FĂ»t âą Machine Ă huile âą Machine Ă mayonnaise âą MĂ©tier Ă tisser âą Presse Ă fromage âą Ruche âą Tonneau Raffinage Bac Ă compost âą Bone Moulin âą Broyeur de gĂ©ode âą Cristalarium âą DĂ©chiqueteuse de bois âą Fournaise âą Fourneau Ă charbon âą Incubateur d'autruche âą Incubateur de Slimes âą Machine Ă graines âą Machine de recyclage âą Panneau solaire âą Paratonnerre âą Presse Ă oeufs de Slimes âą RĂ©colteur lourd âą Saigneur Agriculture Engrais Engrais de base âą Engrais de croissance rapide âą Engrais de croissance rapide II âą Engrais de luxe âą Engrais de qualitĂ© âą Engrais pour arbres âą RĂ©tention d'eau de luxe âą Sol de rĂ©tention basique âą Sol de rĂ©tention de qualitĂ© âą Vitesse grand V Arroseurs Arroseur âą Arroseur de qualitĂ© âą Arroseur en iridium Autre Ăpouvantail âą Ăpouvantail de collection âą Ăpouvantail de luxe âą Pot de jardin PĂȘche AppĂąt Aimant âą AppĂąt âą AppĂąt magique âą AppĂąt sauvage MatĂ©riel de pĂȘche Ardillon âą Chasseur de trĂ©sor âą Flotteur de qualitĂ© âą Flotteur en liĂšge âą Flotteur en plomb âą Hameçon Ă leurre âą Leurre âą Leurre curieux âą PiĂšge flotteur Autre Casier Ă crabes Bombes Bombe âą MĂ©ga-bombe âą Petite bombe ClĂŽtures ClĂŽture de fer âą ClĂŽture de pierre âą ClĂŽture en bois âą ClĂŽture en bois dur âą Portail Stockage Coffre âą Coffre en pierre âą Coffre Junimo âą Mini-rĂ©frigĂ©rateur Panneaux Pancarte en bois âą Pancarte en pierre âą Panneau noir Divers DĂ©constructeur âą Escalier âą Kit de cuisson âą Machine Ă cafĂ© âą Machine Ă coudre âą Mini Jukebox âą Ordinateur de ferme âą Outils âą PoussiĂšre de fĂ©e âą RĂ©servoir âą Table de travail âą TĂ©lĂ©phone
LapĂȘche Ă lâaimant dans les cours dâeau du dĂ©partement de la Charente est une pratique qui tend Ă se vulgariser. "Elle comporte nĂ©anmoins des risques importants pour les pĂȘcheurs, mais
Nous sommes souvent prompts Ă dĂ©signer un coupable. Cette attitude rĂ©vĂšle notre orgueil. La Bible nous demande de ne pas accuser lâautre, mais de prendre sa place, de nous humilier. En cela nous serons une lumiĂšre qui fera la diffĂ©rence dâavec les paĂŻens. Accuser ou prendre la place des autres PrĂ©dication donnĂ©e Ă lâassemblĂ©e CCN-Bethlehem de Rouen, par le Pasteur Jean-Luc NzembĂ©lĂ© le 21/08/2022. Les prĂ©dications peuvent ĂȘtre suivies en direct le dimanche Ă partir de 11h heure de Paris Ă lâadresse suivante CCN-Bethlehem/live 013237 repĂšre chronologique de la vidĂ©o soit 1 heure 32 minutes et 37 secondes Sommaire 1 â Notre thĂšme 2 â Prendre la place des autres 3 â Pourquoi ne pas accuser les autres 4 â Conclusion . 1 â Notre thĂšme 005851 â Gloire Ă Dieu ! Nous bĂ©nissons le Seigneur qui nous accorde de pouvoir ĂȘtre en sa prĂ©sence pour le cĂ©lĂ©brer et nous voulons prier pour recommander ce temps entre ses mains. Merci de te rĂ©vĂ©ler Ă nous et de nous parler, Seigneur, nous avons besoin de toi et de ta Parole, par elle, transforme-nous ! Amen. Nous lisons notre passage principal. 010003 Lecture de Luc 2333-38 33 Lorsquâils furent arrivĂ©s au lieu appelĂ© CrĂąne, ils le crucifiĂšrent lĂ , ainsi que les deux malfaiteurs, lâun Ă droite, lâautre Ă gauche. 34 JĂ©sus dit PĂšre, pardonne-leur, car ils ne savent ce quâils font. Ils se partagĂšrent ses vĂȘtements, en tirant au sort. 35 Le peuple se tenait lĂ , et regardait. Les magistrats se moquaient de JĂ©sus, disant Il a sauvĂ© les autres; quâil se sauve lui-mĂȘme, sâil est le Christ, lâĂ©lu de Dieu! 36 Les soldats aussi se moquaient de lui; sâapprochant et lui prĂ©sentant du vinaigre, 37 ils disaient Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-mĂȘme! 38 Il y avait au-dessus de lui cette inscription Celui-ci est le roi des Juifs. La priĂšre de JĂ©sus On peut continuer la lecture avec les deux brigands. Le premier se moque aussi de JĂ©sus. Le Seigneur fait cette priĂšre au verset 34 PĂšre, pardonne-leur car ils ne savent pas ce quâils font ! » Tout de suite aprĂšs, nous voyons que le peuple regardait le spectacle. Les magistrats se moquaient de lui, les soldats et le deuxiĂšme brigand Ă©galement. Mais JĂ©sus fait cette priĂšre. Notre thĂšme, aujourdâhui est le suivant Accuser ou prendre la place des autres. » A la lecture de ce rĂ©cit, nous aurions pu trouver normal que JĂ©sus accuse tous ces gens, et quâIl dise Ă son PĂšre Regarde comment ils se comportent ! Je suis venu les sauver, leur faire du bien. Je suis venu te faire connaĂźtre Ă eux. Vois ce quâils me donnent en retour ! Quâaurais-je fait Ă sa place ? Jâappelle cela lâaccusation, le fait de se plaindre des autres, de les critiquer, Ă tort ou Ă raison. On se justifie en disant Ce que je dis est vrai. Les magistrats, des gens qui disent le droit, qui sont censĂ©s ĂȘtre impartiaux, justes et corrects, se moquaient de JĂ©sus. Les soldats Ă©galement, eux dont le rĂŽle est de faire appliquer la justice, lui prĂ©sentent du vinaigre. En mĂ©ditant toutes ces choses, je me disais A sa place, quâaurais-je fait ? Je les aurais certainement accusĂ©s. Mais JĂ©sus savait que sa mission consistait Ă prendre la place de ce peuple, de tous les humains, des mĂ©chants. Le cĆur de lâĂ©vangile Bien-aimĂ©s, câest le cĆur de lâĂ©vangile. Si nous nâavons pas compris cela, nous allons tourner en rond. De nombreux chrĂ©tiens nâavancent pas car ils restent dans les accusations. Ils pointent du doigt ce qui ne va pas chez lâautre. Le chrĂ©tien ne doit pas accuser lâautre mais prendre sa place, sâidentifier au mĂ©chant. En agissant ainsi, nous pourrons prier pour lui, on pourra lâexcuser, lâapprocher pour parler avec lui. Certains se comportent tellement mal que nous nâavons pas envie de nous approcher dâeux. Le Seigneur nous dit ce matin Ne passons pas notre temps Ă accuser les autres, Ă nous plaindre dâeux, Ă les critiquer. Il y a des spĂ©cialistes des conciliabules Tu as vu un tel ⊠Et celui-là ⊠On pointe du doigt des habitudes qui nous incommodent, qui nous dĂ©rangent. Jâappelle cela des accusations. Jâai bien dit que cela peut ĂȘtre Ă raison, quâimporte. LâĂ©vangile nous demande de prendre la place de lâautre. . 2 â Prendre la place des autres 010652 â JĂ©sus dĂ©joue un piĂšge Un jour, dans Jean 8, des religieux, sĂ»rs dâeux viennent voir JĂ©sus avec une femme prise en flagrant dĂ©lit dâadultĂšre. Ils lui disent MaĂźtre, nous savons que tu enseignes selon la vĂ©ritĂ© . . . Ils flattent le Seigneur pour le piĂ©ger. Cette femme a Ă©tĂ© prise en flagrant dĂ©lit dâadultĂšre, nous savons que tu es attachĂ© Ă la loi de MoĂŻse, comme nous. Cette loi dit quâil faut lapider ce genre de femme. Toi, que dis-tu ? » Ils ont oubliĂ© que JĂ©sus est la Parole vivante de Dieu, Il est son Fils, le sauveur de lâhumanitĂ©, la manifestation de la grĂące de Dieu, de son amour. JĂ©sus leur dit, en quelque sorte Vous dites vrai, celui qui fait le mal doit ĂȘtre puni. Maintenant, celui qui fait justice doit ĂȘtre irrĂ©prochable devant Dieu. Alors, faites justice ! Attention, vous qui accusez, soyez vous-mĂȘmes irrĂ©prochables puisquâon vous jugera de cette justice que vous utilisez envers cette femme. On vous mesurera avec la mĂȘme mesure. » Leur conscience les a accusĂ©s Que nous dit-on ensuite ? AccusĂ©s par leur propre conscience » Nous accusons les autres, mais, regardons Ă nous-mĂȘmes ! En pointant celui qui a mal agi, toi-mĂȘme tu agis mal. Au lieu de lâaccuser, va voir cette personne, va prier pour elle. Prends sa place et porte-la vers Dieu ! Que se passe-t-il donc ? Tous, accusĂ©s par leur conscience, se sont retirĂ©s. Ils sont tous partis. JĂ©sus regarde la femme et lui demande OĂč sont ceux qui tâaccusaient ? » A sa grande surprise, elle voit que ses accusateurs sont tous partis. Le Seigneur lui dit alors Moi non plus, je ne te condamne pas, va et ne pĂšche plus. » Se sacrifier Voici lâĂ©vangile ! Bien souvent, bien-aimĂ©s, nous passons notre temps Ă regarder aux autres. Je ne dis pas que nous ne pouvons pas relever ce que lâautre fait, non. Si nous avons sujet Ă nous plaindre, prenons la place de lâautre. LâApocalypse nous dit que JĂ©sus a fait de nous un royaume de sacrificateurs. Un chrĂ©tien prend la place de lâautre. Le Seigneur attend cela de nous. 011156 â Lecture de Exode 3230-34 30 Le lendemain, MoĂŻse dit au peuple Vous avez commis un grand pĂ©chĂ©. Je vais maintenant monter vers lâĂternel jâobtiendrai peut-ĂȘtre le pardon de votre pĂ©chĂ©. 31 MoĂŻse retourna vers lâĂternel et dit Ah! ce peuple a commis un grand pĂ©chĂ©. Ils se sont fait un dieu dâor. 32 Pardonne maintenant leur pĂ©chĂ©! Sinon, efface-moi de ton livre que tu as Ă©crit. 33 LâĂternel dit Ă MoĂŻse Câest celui qui a pĂ©chĂ© contre moi que jâeffacerai de mon livre. 34 Va donc, conduis le peuple oĂč je tâai dit. Voici, mon ange marchera devant toi, mais au jour de ma vengeance, je les punirai de leur pĂ©chĂ©. 011248 â Lecture de Exode 3312-13 12 MoĂŻse dit Ă lâĂternel Voici, tu me dis Fais monter ce peuple! Et tu ne me fais pas connaĂźtre qui tu enverras avec moi. Cependant, tu as dit Je te connais par ton nom, et tu as trouvĂ© grĂące Ă mes yeux. 13 Maintenant, si jâai trouvĂ© grĂące Ă tes yeux, fais-moi connaĂźtre tes voies; alors je te connaĂźtrai, et je trouverai encore grĂące Ă tes yeux. ConsidĂšre que cette nation est ton peuple. MoĂŻse intercĂšde pour le peuple MoĂŻse prie. Il se trouve avec JosuĂ© dans la montagne. Ils entendent un tumulte et pensent que câest un bruit de rĂ©jouissance. Que sâest-il passĂ© ? MoĂŻse est restĂ© dans la prĂ©sence de Dieu, sur la montagne, le peuple a estimĂ© quâil Ă©tait trop long Ă revenir. Ils vont voir Aaron et lui demande de leur fabriquer une idole, un veau dâor pour lâadorer. Dieu parle Ă MoĂŻse et lui dit dâaller voir le peuple quâIl a fait sortir dâĂgypte et qui sâest fait un dieu. MoĂŻse est en colĂšre et reprend les IsraĂ©lites. Ensuite, il va prier Seigneur, aie pitiĂ© de ton peuple. Le Seigneur rĂ©pond que celui qui a pĂ©chĂ© mourra et quâIl fait grĂące Ă MoĂŻse. Ce dernier engage un bras de fer avec Dieu. 011500 â Lecture de Exode 3314 14 LâĂternel rĂ©pondit Je marcherai moi-mĂȘme avec toi, et je te donnerai du repos. Au verset prĂ©cĂ©dent, MoĂŻse dĂ©clare ConsidĂšre que cette nation est ton peuple. Et Dieu lui rĂ©pond au verset 14 Je te connais et je marcherai moi-mĂȘme avec toi. MoĂŻse parle du peuple et Dieu parle de lui. 011607 â Lecture Exode 3315 15 MoĂŻse lui dit Si tu ne marches pas toi-mĂȘme avec nous, ne nous fais point partir dâici. Dieu dit Ă MoĂŻse Je vais traiter avec toi, le peuple est mauvais. Ce dernier rĂ©pond Ne traite pas avec moi, traite avec nous ! Si tu ne pardonnes pas au peuple, efface-moi de ton livre. 011630 â Lecture Exode 3316-17 16 Comment sera-t-il donc certain que jâai trouvĂ© grĂące Ă tes yeux, moi et ton peuple? Ne sera-ce pas quand tu marcheras avec nous, et quand nous serons distinguĂ©s, moi et ton peuple, de tous les peuples qui sont sur la face de la terre? 17 LâĂternel dit Ă MoĂŻse Je ferai ce que tu me demandes, car tu as trouvĂ© grĂące Ă mes yeux, et je te connais par ton nom. MoĂŻse a rĂ©ussi Ă flĂ©chir le cĆur de Dieu. Imitons MoĂŻse Notre thĂšme est Accuser ou prendre la place des autres » MoĂŻse a pris la place de ce peuple au cou raide. LâĂternel le dit Ă plusieurs reprises. MoĂŻse avait de bonnes raisons pour accuser les IsraĂ©lites. Dieu pouvait Ă©liminer tout le monde et continuer avec MoĂŻse. Mais celui-ci nâaccepte pas cela et dit Ă Dieu de le compter parmi le peuple et de lâĂ©liminer avec les autres. Regardez lâattitude de MoĂŻse, Dieu attend la mĂȘme chose de nous. Prendre la place de lâautre nâest pas la mission du pasteur, de lâancien ou du diacre. Non, bien-aimĂ©s ! Câest la mission de tout chrĂ©tien. Luc 6 40 nous dit Tout disciple accompli sera comme son maĂźtre. Tout chrĂ©tien a cette mission de porter les autres, les mĂ©chants, au lieu de les accuser. . 3 â Pourquoi ne pas accuser les autres ? A â En accusant les autres, nous accusons Dieu lui-mĂȘme dâavoir mal fait. Quand on accuse son mari dâĂȘtre mauvais, on dit Ă Dieu, en quelque sorte Tu mâas donnĂ© un mauvais mari. Si nous accusons nos enfants, nous envoyons ce message Si tu mâavais donnĂ© les enfants du voisin, jâaurais Ă©tĂ© heureux ! 011927 â Lecture de GenĂšse 36-12 6 La femme vit que lâarbre Ă©tait bon Ă manger et agrĂ©able Ă la vue, et quâil Ă©tait prĂ©cieux pour ouvrir lâintelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; elle en donna aussi Ă son mari, qui Ă©tait auprĂšs dâelle, et il en mangea. 7 Les yeux de lâun et de lâautre sâouvrirent, ils connurent quâils Ă©taient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils sâen firent des ceintures. 8 Alors ils entendirent la voix de lâĂternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et lâhomme et sa femme se cachĂšrent loin de la face de lâĂternel Dieu, au milieu des arbres du jardin. 9 Mais lâĂternel Dieu appela lâhomme, et lui dit OĂč es-tu? 10 Il rĂ©pondit Jâai entendu ta voix dans le jardin, et jâai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis cachĂ©. 11 Et lâĂternel Dieu dit Qui tâa appris que tu es nu? Est-ce que tu as mangĂ© de lâarbre dont je tâavais dĂ©fendu de manger? 12 Lâhomme rĂ©pondit La femme que tu as mise auprĂšs de moi mâa donnĂ© de lâarbre, et jâen ai mangĂ©. Bien-aimĂ©s, Dieu parle Ă Adam As-tu mangĂ© le fruit de lâarbre que je tâavais dĂ©fendu de manger ? Quelle fut sa rĂ©ponse ? La femme Câest Toi qui lâas mise que Tu as mise Ă cĂŽtĂ© de moi, mâa donnĂ© le fruit et je lâai mangĂ©. Lâorgueil racine de lâaccusation Nous avons cette mĂȘme attitude la facilitĂ© dâaccuser les autres. La facilitĂ© de dire Ce nâest pas de ma faute. Que se cache-t-il derriĂšre cela ? Lâorgueil ! Câest le vrai sujet Moi je nâai pas de problĂšme, moi je suis bien ! Ce sont les autres qui mâennuient , ils ne me comprennent pas, ils sont contre moi. Les gens ont injustes, jaloux, mĂ©chants, puisque lâon sâestime ĂȘtre irrĂ©prochable. La racine de lâaccusation reste lâorgueil. Le plus grave est quâen accusant les autres, on accuse Dieu ! LĂ se trouve le point important. Adam ne dit pas Ă Dieu Câest de ta faute. Non ! Il dit Câest la femme que Tu mâas donnĂ©e. Autrement dit Tu as fait un mauvais choix. Voyez jusquâoĂč cela peut aller ! Adam accuse Dieu. Cela nous arrive souvent. On accuse notre pĂšre car il sâest mal comportĂ©. Moi je nâaurais pas fait les choses ainsi, je me serais choisi un bon pĂšre ! Porter plainte contre Dieu Je suivais un sĂ©nateur amĂ©ricain qui a dĂ©posĂ© plainte contre Dieu. Les journalistes lui demandent pourquoi. Il rĂ©pond A cause des catastrophes naturelles, des tremblements de terre, des inondations, des incendies et canicules. Il se justifie en disant que câest ironique, quâil veut montrer lâabsurditĂ© du monde dans lequel nous vivons. En Roumanie, un homme qui a pris le baptĂȘme dans une Ă©glise orthodoxe, a commis un meurtre quelques temps aprĂšs. Devant les juges il a dĂ©clarĂ© Je vais porter plainte contre Dieu, car celui qui mâa prĂȘchĂ© mâa dit que Dieu allait changer mon cĆur. Je rĂ©alise que je suis toujours mĂ©chant car jâai tuĂ© quelquâun ! Jâai fait une parenthĂšse avec ces deux exemples pour nous montrer lâabsurditĂ© dâaccuser Dieu lui-mĂȘme. Dieu nous demande de rester humbles. B â En accusant les autres, nous nous faisons complices de Satan. Lâaccusateur » est un de ses noms, prenons conscience de cela. 012800 â Lecture de Apocalypse 1210 10 Et jâentendis dans le ciel une voix forte qui disait Maintenant le salut est arrivĂ©, et la puissance, et le rĂšgne de notre Dieu, et lâautoritĂ© de son Christ; car il a Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ©, lâaccusateur de nos frĂšres, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. Lorsque tu accuses les autres, bien-aimĂ©, tu deviens un agent de Satan. Tu ne le dĂ©cides pas, non, mais ce faisant, tu le deviens. Souviens-toi de cela Le diable accuse faussement, comme il lâa fait pour Job, en disant Ă Dieu Est-ce de maniĂšre dĂ©sintĂ©ressĂ©e ? Pourtant Job Ă©tait correct ! En accusant les autres, on donne accĂšs au diable. Nâimitons pas lâaccusateur Des chrĂ©tiens de longue date te disent Moi je prie, je fais ceci ⊠Et quand tu discutes avec eux, ils se plaignent toujours des autres. A partir dâaujourdâhui, quand quelquâun vient te voir pour se plaindre de quelquâun, tu lui dis Ăcoute, mon frĂšre, ma sĆur, je ne veux pas entendre ces choses-lĂ , prions pour cette personne. » Il faut avoir ce courage. Tu sais, quâen dĂ©clarant cela, tu risques de mettre un froid dans votre relation. Puisque nous voulons prĂ©server notre relation, nous sommes prĂȘts Ă entendre ce que lâautre va nous dire, mĂȘme si nous ne rĂ©agissons pas. Non, bien-aimĂ©s ! Certains chrĂ©tiens tournent en rond car ils restent dans lâaccusation. Câest la faute des Allemands, de la guerre, du gouvernement, de ceci, de cela, du diable . . . Accuser les autres est le travail de Satan. Il nâa pas besoin dâattaquer directement puisquâil sait que les chrĂ©tiens entre eux vont sâaccuser. Prenons conscience de cela. Je reste dans cette attitude ou je prends la place des autres ? C â Dieu utilisent les autres pour notre perfectionnement. Lisons GenĂšse 50 , la leçon que notre aĂźnĂ© Joseph a comprise. 013210 Lecture de GenĂšse 5015-21 15 Quand les frĂšres de Joseph virent que leur pĂšre Ă©tait mort, ils dirent Si Joseph nous prenait en haine, et nous rendait tout le mal que nous lui avons fait! 16 Et ils firent dire Ă Joseph Ton pĂšre a donnĂ© cet ordre avant de mourir 17 Vous parlerez ainsi Ă Joseph Oh! pardonne le crime de tes frĂšres et leur pĂ©chĂ©, car ils tâont fait du mal! Pardonne maintenant le pĂ©chĂ© des serviteurs du Dieu de ton pĂšre! Joseph pleura, en entendant ces paroles. 18 Ses frĂšres vinrent eux-mĂȘmes se prosterner devant lui, et ils dirent Nous sommes tes serviteurs 19 Joseph leur dit Soyez sans crainte; car suis-je Ă la place de Dieu? 20 Vous aviez mĂ©ditĂ© de me faire du mal Dieu lâa changĂ© en bien, pour accomplir ce qui arrive aujourdâhui, pour sauver la vie Ă un peuple nombreux. 21 Soyez donc sans crainte; je vous entretiendrai, vous et vos enfants. Et il les consola, en parlant Ă leur cĆur. Lâattitude de Joseph Au verset 18, Joseph dit Suis-je Ă la place de Dieu ? Il ne se met pas Ă la place de Dieu. Joseph consola ses frĂšres en parlant Ă leur cĆur. Nous sommes dans un dialogue de cĆur Ă cĆur. Ce nâest plus une conversation entre frĂšres. Joseph a compris que Dieu se sert des autres pour notre perfectionnement. Le Seigneur utilise lâattitude des autres pour nous amener Ă ressembler Ă JĂ©sus. De sorte que, lorsque nous ressemblons Ă JĂ©sus, nous pouvons exercer la misĂ©ricorde et la grĂące vis-Ă -vis dâautrui. Câest le point le plus important de ce matin. Au lieu de chercher Ă comprendre avec des si . . . On referait le monde. ArrĂȘtons avec les faux prĂ©textes Si jâĂ©tais blanc, si jâĂ©tais noir ! Ah, il y a trop de racisme ! Le noir va se plaindre du racisme des blancs Je nâai pas trouvĂ© de travail, en France, on est raciste ! Jâai discutĂ© avec un frĂšre, dans un pays Ă©tranger, qui a fait de longues Ă©tudes et se retrouve Ă avoir des petits boulots » qui nâont rien Ă voir avec ses qualifications. Finalement, il conclue que les gens sont racistes. Câest peut-ĂȘtre la raison. Mais une fois que tu sais cela, quâen fais-tu ? AprĂšs avoir fait ce constat, prie pour ces gens-lĂ . A contrario, certains blancs vont dire Les noirs sont racistes. Câest aussi une rĂ©alitĂ©. Mais le vĂ©ritable problĂšme est le mauvais cĆur de lâhomme, ce nâest pas dâĂȘtre blanc ou noir. Nous voyons comment les français se comportent entre eux. Les Corses vis-Ă -vis des autres, les parisiens vis-Ă -vis des autres ⊠Encore maintenant, il est trĂšs rare de voir des gens qui ont un accent Ă la tĂ©lĂ©vision, car on choisit des gens qui parlent bien le français. Certains se moquaient de Mr Castex Ă cause de son accent. Nous voulons que les gens nous ressemblent et quand ils sont diffĂ©rents, nous rĂ©agissons. Dans les pays africains le tribalisme est de rĂšgle Lui est du nord, lui du sud ⊠On ne va pas se marier avec des gens de telle rĂ©gion. Ce nâest pas une question de race, nous sommes dans le mĂȘme pays ! Les souffrances de Joseph La vraie question est Que veut faire Dieu de moi ? Regardez Joseph dans le livre de GenĂšse. Quelles souffrances nâa-t-il pas endurĂ©es ! Victime de la jalousie de ses frĂšres, jetĂ© dans un puits, vendu comme esclave, il quitte sa terre et se retrouve Ă lâĂ©tranger loin de sa famille. Chemin faisant, accusĂ© de viol, il se retrouve en prison. A la place de Joseph, je me serais dit Tout cela est de la faute de mes frĂšres, de leur jalousie. Mais Joseph a compris que tout ce que Dieu a permis, a contribuĂ© Ă le construire, et de plus, Ă sauver sa famille. Ainsi se manifeste la volontĂ© de Dieu. Tu estimes que les gens sont mauvais, mais ce nâest pas un homme qui va tâempĂȘcher de trouver du travail, si Dieu veut que tu en trouves. Accepter lâinjustice Bien-aimĂ©s, nous sommes chrĂ©tiens et nous avons tous des exemples de la puissance de Dieu. Certaines personnes, Ă©trangĂšres, ont trouvĂ© du travail lĂ oĂč on leur avait dit quâil fallait ĂȘtre Français. Nâest-ce pas la grandeur de Dieu ? Certains ont eu une fonction sans avoir le diplĂŽme requis, et pourtant on est venu les chercher. Quand cela va mal, on commence Ă parler. ArrĂȘtons dâaccuser les autres ! Accepte lâinjustice, la mĂ©chancetĂ©, les moqueries. Comment ? En prenant la place de lâautre et en priant Pardonne-lui, PĂšre, car il nâest pas conscient de ce quâil fait. Et donne-moi beaucoup dâamour pour cette personne. 014054 â Citation de Matthieu 712 Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de mĂȘme pour eux. » Ah, moi, on ne mâappelle jamais ! » Au lieu de te plaindre, commence par appeler . AprĂšs plusieurs appels, la personne le fera en retour. Les gens ne font pas forcĂ©ment les choses parce quâils sont mĂ©chants, mais simplement parce quâils nây pensent pas. Fais pour les autres . . . Ah, les frĂšres et sĆurs vont toujours chez les autres, et pas chez moi.» Commence par les inviter. Certains pensent ne pas ĂȘtre en mesure de bien recevoir. Qui tâa dit cela ? On vient prier et comme on le dit , ici en France, chacun amĂšne quelque chose. On ne fait pas mais on accuse autrui. Ce que tu veux que les autres fassent, commence par le faire. Et Dieu utilisera cela pour les toucher . Tu vois quâun tel ne dit jamais bonjour, prends les devants et va lui dire bonjour, une fois, deux fois, trois fois. MĂȘme si lâautre ne te rĂ©pond pas aujourdâhui, un jour, il te fera un sourire et vous entamerez une conversation. Le soutien des faibles Il est dit en Citation de Romains 151 1 Nous qui sommes forts, nous devons supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, et ne pas nous complaire en nous-mĂȘmes. Accuser lâautre rĂ©vĂšle ta pensĂ©e Il a des manquements. Alors, toi qui es fort, prends la place du faible. A lâintercession, on se retrouve Ă deux, les chrĂ©tiens abusent, le dimanche, il y a beaucoup de monde. » Non, dis au Seigneur Nous sommes deux, donne-nous la joie de louer Ă la place des autres. Certains se trouvent au culte le cĆur serrĂ© un tel nâest pas venu, un tel ⊠A quoi cela sert que quelquâun vienne si le cĆur nây est pas. Si lâautre ne veut pas, je fais Ă sa place. Ne murmure pas ! Cela Ă©vite dâavoir des mauvaises pensĂ©es et dâĂȘtre un agent du diable. Et surtout cela va te conduire dans le plan de Dieu, et tâamener Ă accepter de mourir pour les autres. . 4 â Conclusion Nous allons finir par le tĂ©moignage que jâai souvent donnĂ©. Celui dâune chrĂ©tienne qui a des frĂšres et que les parents sollicitent toujours pour laver la voiture. Et un jour, en ma prĂ©sence, elle rĂ©pond que ce nâest pas normal, que les autres ne font rien. Je lui ai dit Mais câest toi qui es chrĂ©tienne, câest pourquoi les parents te sollicitent. Oui, mais les autres sâen sortent bien ! Les autres ne connaissent pas le Seigneur. Les autres seront touchĂ©s quand tu te sacrifieras pour eux, quand tu prendras leur place. Faire la diffĂ©rence Cette rĂ©ponse mâa Ă©difiĂ© moi-mĂȘme, effectivement, nous sommes ainsi. Ah si je fais, lâautre va abuser ! Il ne fait rien ! Ce nâest pas la question de lâautre, mais de savoir si jâobĂ©is. Au travail le sale boulot » est pour toi etu te dis Le patron exagĂšre, câest parce que je suis trop bon, je vais faire comme les autres ! Non, toi, tu as Dieu, câest ce qui fait la diffĂ©rence. MoĂŻse dit Sois avec nous de sorte quâil y ait une diffĂ©rence entre les peuples et nous. » A 18 heures, au moment de partir, on te donne un travail. Humainement la chair souffre. Bien-aimĂ©s, voyez comment fonctionnent les accusations. En rĂ©agissant bien, tu fais un travail dans le cĆur. Le jour oĂč tu parleras de Dieu Ă cette personne, elle pourra tâĂ©couter car tu ne te contentes pas de parler. Le fait que tu te sacrifies pour les autres et la vie que tu manifestes vont la toucher. 014816 â Citation de Matthieu 513-16 13 Vous ĂȘtes le sel de la terre. Mais si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on? Il ne sert plus quâĂ ĂȘtre jetĂ© dehors, et foulĂ© aux pieds par les hommes. 14 Vous ĂȘtes la lumiĂšre du monde. Une ville situĂ©e sur une montagne ne peut ĂȘtre cachĂ©e; 15 et on nâallume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et elle Ă©claire tous ceux qui sont dans la maison. 16 Que votre lumiĂšre luise ainsi devant les hommes, afin quâils voient vos bonnes Ćuvres, et quâils glorifient votre PĂšre qui est dans les cieux. Que le Seigneur nous aide Peut-ĂȘtre ne se convertiront-ils pas dans lâimmĂ©diat, mais, au fond dâeux-mĂȘmes, ils verront la diffĂ©rence. Souvent, on se plaint, on veut lâĂ©quitĂ©, la justice. Cela voudrait dire que Dieu est injuste ! Nous ne sommes pas tous identiques, certains sont grands, dâautres petits. Certains mangent beaucoup et ne grossissent pas, dâautres mangent peu et sont en surpoids. Finalement, la nature nous enseigne quâil nây a pas dâĂ©quitĂ©. Nous, nous voulons ⊠» Non, bien-aimĂ©s, acceptons que la vie chrĂ©tienne demande de se sacrifier pour les autres. Seigneur, aide moi Ă prendre la place des mĂ©chants. Que Dieu nous aide Ă sortir des accusations, Ă ne plus pointer du doigt, Ă regarder Ă nous-mĂȘmes. QuâIl nous donne un grand cĆur pour supporter les mĂ©chants et prendre leur place. PriĂšre finale Seigneur, nous bĂ©nissons ta Parole, ce matin, et nous te demandons ton secours. Car il est Ă©crit en 015010 Citation de Jean 316 16 Car Dieu a tant aimĂ© le monde quâil a donnĂ© son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne pĂ©risse point, mais quâil ait la vie Ă©ternelle. Aide-nous Ă avoir la mĂȘme attitude que notre maĂźtre, JĂ©sus, que Joseph, que MoĂŻse et tant dâautres. Pardonne-nous pour toutes les fois oĂč nous prenons plaisir Ă accuser les autres, oĂč notre chair se rĂ©jouit de la facilitĂ© de trouver un coupable. Seigneur, dĂ©livre-nous de cela ! Fais-nous grĂące, transforme-nous, mets en nous lâesprit de sacrifice. Au nom de JĂ©sus-Christ, amen !