1216, L. 121-28, L. 122-8 à L. 122-10, L. 213-1 à L. 213-5, L. 217-1 à L. 217-3, L. 217-6 à L. 217-10 du code de la consommation ; − l'une des infractions prévues aux articles L. 8221-1 et L. 8221-3 du code du travail ; Je n’ai pas été l'auteur de faits ayant donné lieu, depuis moins de cinq ans, à une sanction disciplinaire ou
Le Code de la consommation regroupe les lois relatives au droit de la consommation français. Gratuit Retrouvez l'intégralité du Code de la consommation ci-dessous Article L121-24 Entrée en vigueur 2022-01-01 Est interdite toute forme de publicité ou de communication proposant une remise ou une réduction annulant ou réduisant pour le consommateur final l'effet de la taxe sur les émissions de dioxyde de carbone des véhicules de tourisme prévue au a du 4° de l'article L. 421-30 du code des impositions sur les biens et services. Nota Conformément à l'article 40 de l'ordonnance n° 2021-1843 du 22 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022. Citée par Article L121-24 Contribution(en %) de la croissance des pays à celle mondiale (2011). La croissance économique désigne la variation positive de la production de biens et de services dans une économie sur une période donnée, généralement une longue période. En pratique, l' indicateur le plus utilisé pour la mesurer est le produit intérieur brut (PIB). Actions sur le document Article L121-24 Le contrat visé à l'article L. 121-23 doit comprendre un formulaire détachable destiné à faciliter l'exercice de la faculté de renonciation dans les conditions prévues à l'article L. 121-25. Un décret en Conseil d'Etat précisera les mentions devant figurer sur ce formulaire. Ce contrat ne peut comporter aucune clause attributive de compétence. Tous les exemplaires du contrat doivent être signés et datés de la main même du client. Dernière mise à jour 4/02/2012 codede la consommation (ancien) recherche par : document sous-section 9 - disposition applicable aux consommateurs rÉsidant dans un État membre de l'union europÉenne (art. l.

Le Lundi 28 mars 2022 Pour être acheminée depuis les centres de production vers les consommateurs, l’électricité emprunte -le réseau public de transport d’électricité, destiné à transporter des quantités importantes d’énergie sur de longues distances ; -le réseau public de distribution, destiné à acheminer l’électricité en moins grande quantité et sur de courtes distances. Le développement et la modernisation des réseaux électriques, pour accueillir les énergies renouvelables, constitueront un élément essentiel de la transition énergétique. Le réseau public de transport d'électricité Le réseau de transport d’électricité a vocation à acheminer des quantités importantes d’électricité sur de grandes distances, entre les régions et vers les pays voisins. RTE est le gestionnaire du réseau public de transport d’électricité français. Ce réseau est constitué de la quasi-totalité des lignes exploitées à une tension supérieure à 50 kV sur le territoire métropolitain continental, ce qui représente plus de km de lignes, quelques 4000 postes électriques et 47 interconnexions RTE garantit à tous les utilisateurs du réseau de transport d’électricité un traitement équitable dans la transparence et sans discrimination, sous le contrôle de la Commission de Régulation de l’Énergie CRE. Les clients de RTE sont des producteurs d’électricité, des consommateurs industriels, des distributeurs d’électricité, des entreprises ferroviaires, des traders » et fournisseurs qui achètent et revendent de l’électricité. Le réseau achemine l’électricité entre les producteurs d’électricité et les consommateurs industriels directement raccordés au réseau ou les distributeurs d’électricité. Le courant produit est porté à un niveau de tension de 400 kV, ce qui permet de le transporter sur de longues distances en minimisant les pertes. Le courant est ensuite transformé en 225 kV, puis 90 ou 63 kV pour l’alimentation régionale et locale en électricité. RTE est garant du bon fonctionnement et de la sûreté du système électrique. Il adapte à tout moment la production et la consommation sur le réseau, car l’électricité ne peut être stockée en quantité importante à des conditions économiques acceptables. L'insertion de grandes quantités d'énergies renouvelables modifie en profondeur les flux sur le réseau de transport d'électricité, ce qui nécessite de l’adapter pour réussir la transition énergétique. Une plus grande intégration entre les réseaux européens contribue également à renforcer le système électrique. Dans son schéma décennal, RTE répertorie les projets qu'il propose de réaliser et de mettre en service dans les trois prochaines années et présente les principales infrastructures de transport d’électricité à envisager dans les dix ans à venir. Au-delà, il esquisse les possibles besoins d’adaptation du réseau selon différents scénarios de transition énergétique. Il s'appuie également sur le bilan prévisionnel de l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité . Les réseaux publics de distribution d'électricité Les gestionnaires de réseaux Les réseaux de distribution acheminent l’électricité sur de plus courtes distances, pour une alimentation de la consommation locale, mais aussi le raccordement de nombreux producteurs d’électricité de petite et moyenne puissance, jusqu'à 12 MW. Ces réseaux sont constitués d’ouvrages de moyenne tension entre 1 kV et 50 kV et d’ouvrages de basse tension inférieure à 1 kV. Dans le cadre de la transition énergétique et du développement des énergies renouvelables, 80% des nouvelles installations de production sont raccordées aux réseaux de distribution d'électricité. Cette nouvelle dimension des réseaux de distribution d'électricité va nécessiter davantage d'intelligence dans la gestion du réseau et de solutions techniques associées, communément appelées smart grids ». Ces évolutions permettront une meilleure intégration des énergies renouvelables, mais aussi des points de recharge pour véhicules électriques, ainsi qu’une plus grande efficacité énergétique et une optimisation des investissements réalisés sur les réseaux. L'organisation de la distribution d’électricité est de la compétence des collectivités locales, autorités organisatrices de la distribution d’électricité AODE, généralement par l’intermédiaire de syndicats d’électrification intercommunaux. En France, la distribution de l’électricité est assurée, soit sous le régime de la concession de service public, soit sous celui de la gestion directe par les communes. En matière de concession de service public, la commune, détentrice du pouvoir concédant, délègue à un concessionnaire la mission de distribuer l’électricité sur son territoire. La commune dispose du pouvoir concédant soit de façon directe, soit en le déléguant à un syndicat intercommunal. Dans ce cas, le syndicat dispose le plus souvent de l’ensemble des prérogatives normalement dévolues au concédant, en particulier du cahier des charges de concession et assure le contrôle du bon accomplissement des missions de service public fixées au concessionnaire par le cahier des charges. Le modèle de cahier des charges constitue un document de référence sur lequel les collectivités concédantes s’appuient pour la négociation et l’élaboration de leurs contrats de concession. Enedis est, sur 95% du territoire métropolitain, le concessionnaire obligé des AODE pour la gestion de leurs réseaux de distribution d’électricité. Il exploite 1,3 million de km de lignes, presque postes de distribution moyenne et basse tension et plus de 2000 postes sources haute et moyenne tension et dessert 35 millions de clients. Par ailleurs, les régies, les sociétés d’économie mixtes, les coopératives d’usagers et les sociétés d’intérêt collectif agricole concessionnaires d’électricité, et existant avant 1946, ont conservé leur compétence de gestionnaire des réseaux publics de distribution dans leur zone de desserte. 150 entreprises locales de distribution » ELD desservent actuellement environ 5% du territoire métropolitain. L'article L121-29 du code de l'énergie instaure un fonds de péréquation de l’électricité FPE ayant pour vocation de compenser, en partie, l’hétérogénéité des conditions d’exploitation résultant de la disparité des réseaux et de la structure des consommations, alors que les tarifs sont les mêmes sur tout le territoire. Les distributeurs ayant des charges excessives perçoivent, selon une clé de répartition, ce que versent les distributeurs les mieux lotis articles R121-44 et suivants du code de l'énergie électricité de Mayotte assure la gestion des réseaux de distribution d’électricité dans la collectivité départementale de Mayotte ; EDF-SEI assure la gestion des réseaux de distribution d’électricité dans les autres collectivités d’Outre-mer et en Corse. Les gestionnaires des réseaux de distribution sont chargés d’assurer la conception, la construction, l’entretien des réseaux, ainsi que l’accès à ces derniers dans des conditions non discriminatoires ; ils doivent veiller à l’efficacité et à la sûreté des réseaux. L’électrification rurale et le FACÉ FACÉ - accès réservé Lorsqu’elles assurent la maîtrise d’ouvrage des travaux de développement du réseau conformément à l’article du code de l’énergie, les autorités organisatrices de la distribution publique d’électricité peuvent recevoir des aides pour la réalisation des travaux portant sur les ouvrages ruraux de ce réseau. Aux termes de l'article L. 2224-31 du code général des collectivités territoriales, ces aides, regroupées au sein d’un compte d'affectation spéciale du budget de l'Etat, le CAS FACÉ Financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale, ont ainsi pour objet de participer au financement principalement de travaux d'électrification rurale dont la maîtrise d'ouvrage est assurée par les collectivités territoriales et leurs établissements publics de coopération en matière de distribution publique d'électricité. Les aides sont majoritairement utilisées pour financer des dépenses de renforcement amélioration de la qualité de la distribution et de sécurisation des réseaux résorption des fils nus, particulièrement vulnérables aux intempéries, ainsi que des dépenses liées à la réduction de l’impact visuel des réseaux sur l'environnement mise en souterrain des lignes en particulier ; mais également d'opérations de maîtrise de la demande d'électricité ou de production décentralisée à partir d’énergies renouvelables, dont la maîtrise d'ouvrage est assurée dans les mêmes conditions, si ces opérations permettent d'éviter, dans de bonnes conditions technico-économiques, des solutions d’extension ou de renforcement des réseaux qui se révéleraient plus coûteuses ; et enfin d’opérations de production d’électricité à partir d'installations de proximité en zone non interconnectée, lorsque ces opérations, justifiées au plan technico-économique, permettant d’éviter des solutions d'extension des réseaux qui se révéleraient plus coûteuses. Le financement du CAS FACÉ repose sur une contribution due par les gestionnaires des réseaux publics de distribution, mais ce coût est, in fine, imputé sur le consommateur d'électricité. La qualité de l'électricité L’amélioration de la qualité constitue une action prioritaire entreprise sur les réseaux de distribution depuis le milieu des années 2000, sous l’impulsion des pouvoirs publics et des autorités organisatrices de la distribution d'électricité, Les articles D322-2 et suivants du code de l'énergie et leur arrêté d'application du 24 décembre 2007 fixent les principes et la procédure permettant une évaluation pertinente du niveau de qualité sur les réseaux de distribution. L'article L. 322-12 du code de l'énergie oblige le gestionnaire de réseau de distribution à consigner une somme d’argent entre les mains d’un comptable public, lorsque le niveau de qualité de l’électricité n’est pas atteint en matière d’interruption de l’alimentation les articles R. 322-11 et suivants fixent la procédure et le niveau des consignations. Les tarifs d’utilisation des réseaux publics d’électricité prévoient une régulation incitative de la qualité de l’alimentation électrique. Celle-ci se traduit par un bonus ou un malus en fonction de la performance du gestionnaire de réseaux mesurée par rapport à une valeur de référence annuelle. Les compteurs communicants Linky La mise en œuvre des nouveaux compteurs Linky doit permettre de mieux connaître les consommations des usagers et d’améliorer la qualité du service rendu au consommateur. Les relevés seront effectués à distance et ne nécessiteront donc plus la présence du client. Ils seront plus fréquents et permettront des facturations sur la base de données réelles et non plus de données estimées. Le compteur permettra de simplifier certaines opérations changements de contrat, de fournisseur. le compteur pourra favoriser l’émergence de services de maîtrise des consommations, et l’apparition de nouvelles offres tarifaires, notamment afin d’inciter à la maîtrise de la consommation à la pointe. Pour la confidentialité des données, la protection de la vie privée et la sécurité du système de comptage, la CNIL a été étroitement associée à l’ensemble des travaux et a pu proposer différentes mesures qui ont contribué à renforcer le cadre de protection du consommateur. Délibération n°2012-404 du 15 novembre 2012 de la CNIL et la communication en date du 30 novembre 2015. Le dispositif prévoit donc des actions de pédagogie auprès du consommateur afin de les sensibiliser sur leurs droits à disposer de leurs données ; toutes les garanties nécessaires permettant d’assurer une gestion sécurisée des données conservées dans les systèmes d’information gestions de habilitations, traçabilité des données, cadre des conditions de collecte et d’utilisation de la courbe de charge, etc. Le projet Linky s’appuie sur une architecture informatique complexe, qui doit être préservée contre tout acte de malveillance. À cette fin, ENEDIS travaille en collaboration avec l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information ANSSI afin que toutes les mesures de protection nécessaire soient prises. Questions / Réponses sur les compteurs Linky L'accès et le raccordement aux réseaux publics d'électricité L'article L121-4 du code de l'énergie dispose que "la mission de développement et d'exploitation des réseaux publics de transport et de distribution d'électricité consiste à assurer […] 2° le raccordement et l'accès, dans des conditions non discriminatoires, aux réseaux publics de transport et de distribution." Les schémas régionaux de raccordement au réseau des énergies renouvelables S3RENR Régis par les articles L321-7 et L342 du code de l’énergie et D342-22 et suivants, les S3RENR permettent de réserver, au bénéfice des énergies renouvelables, pour une période de 10 ans, les capacités de raccordement estimées nécessaires pour atteindre les objectifs fixés par les schémas régionaux du climat, de l'air, et de l'énergie SRCAE. Elaborés par le gestionnaire de réseau de transport, en accord avec les gestionnaires de réseau de distribution concernés puis approuvés par le Préfet, les S3RENR peuvent couvrir l’ensemble d’une région ou être divisés en volets géographiques particuliers. Ces schémas mutualisent entre tous les producteurs d’énergie renouvelable les coûts des ouvrages électriques à créer, au moyen d’une quote-part identique pour tous les producteurs et associée à chaque S3RENR ou à chaque volet particulier si cette option est mobilisée. Cette mutualisation permet d’éviter les effets de barrière et d’aubaine résultant de l’application du droit commun antérieur à la création des S3RENR, qui faisait reposer l’intégralité du financement sur le premier producteur dont le raccordement nécessitait la création d’un ouvrage. Les ouvrages électriques à renforcer sont, quant à eux, financés par les gestionnaires de réseau. Comme dans le régime de raccordement ordinaire, les ouvrages propres » aux producteurs, c’est-à-dire les ouvrages depuis l’installation de production jusqu’aux ouvrages du S3REnR, sont financés par les producteurs. Les schémas prévoient une procédure d’adaptation permettant d’ajuster rapidement les schémas existants au rythme de déploiement des énergies renouvelables, s’il est plus rapide que prévu ; une procédure de révision pour les modifications plus substantielles. un plafonnement du versement effectué par les producteurs d’énergie renouvelable pour leur raccordement dans les départements et régions d’outre-mer, ce qui favorise le développement des énergies renouvelables dans ces territoires disposant d’un potentiel particulièrement intéressant. Le tarif d'utilisation des réseaux publics d'électricité Les méthodes utilisées pour établir les tarifs d'utilisation des réseaux publics de transport et de distribution d'électricité sont fixées par la Commission de régulation de l'énergie. Les tarifs d’utilisation des réseaux publics d’électricité TURPE sont calculés afin que les recettes des gestionnaires de ces réseaux couvrent les charges engagées pour l’exploitation, le développement et l’entretien des réseaux. Il est prévu par les articles L341-2 et suivants du code de l'énergie Le tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité TURPE est applicable à tous les utilisateurs des réseaux publics d’électricité et respecte quelques grands principes le paiement à l’injection ou au soutirage, est indépendant de la distance parcourue, on parle alors de tarification timbre poste » ; la péréquation tarifaire, qui impose que les tarifs soient identiques sur tout le territoire ; la couverture des coûts engagés par les gestionnaires de réseaux. Les règles techniques de raccordement aux réseaux publics Les règles diffèrent suivant qu'il s'agit de un réseau de distribution se raccordant à un autre réseau ; une installation de production se raccordant au réseau de transport ou de distribution ; une installation de consommation se raccordant au réseau de transport ou de distribution. 1. Raccordement des réseaux de distribution à d’autres réseaux Pour le raccordement d’un réseau public de distribution d’électricité au réseau public de transport d’électricité ou à un autre réseau de distribution, le texte en vigueur est l'arrêté du 6 octobre 2006. Raccordement des installations de production et de consommation d’électricité aux réseaux publics Ces raccordements sont désormais organisés par les articles D342-5 à D342-14-1 du code de l’énergie. Seuls ne sont pas concernées les installations de consommation inférieures à 36 kVA, et les installations de productions dans les zones non interconnectées dont la puissance installée est inférieure à 20 MW. Ces dispositions s’appliquent sinon à toute opération de raccordement d’installation de production centrale thermique, hydroélectricité, cycles combinés, éoliennes, systèmes photovoltaïques ... ou de consommation aux réseaux publics d’électricité. Ces dispositions peuvent s'appliquer aussi aux installations déjà raccordées à ces réseaux, notamment en cas de modification substantielle. 2. S’agissant des installations de production Deux arrêtés de même date fixant les prescriptions particulières de raccordement en fonction du type de réseau l’arrêté du 23 avril 2008 relatif aux prescriptions techniques de conception et de fonctionnement pour le raccordement à un réseau public de distribution d’électricité en basse tension ou en moyenne tension d’une installation de production d’énergie électrique ; l’arrêté du 23 avril 2008 relatif aux prescriptions techniques de conception et de fonctionnement pour le raccordement au réseau public de transport d’électricité d’une installation de production d’énergie électrique. Les contrôle des installations de production est organisé par les articles D342-16 et 17 du code de l’énergie. Deux arrêtés précisant les modalités particulières de contrôle des performances des installations raccordées, en fonction de la tension du réseau l’arrêté du 29 mars 2010 précisant les modalités du contrôle des performances des installations de production raccordées en basse tension aux réseaux publics de distribution ; l’arrêté du 6 juillet 2010 précisant les modalités du contrôle des performances des installations de production raccordées aux réseaux publics d’électricité en moyenne tension HTA et en haute tension HTB Le contrôle des performances des installations raccordées en basse tension est organisé par les articles D342-18 et suivants du code de l’énergie, qui concerne autant la production que la consommation. L’organisme de contrôle est le CONSUEL Le contrôle des performances des installations raccordées en moyenne et haute tension fait appel à la "documentation technique de référence" du réseau publiées par les gestionnaires du réseau après concertation avec les utilisateurs professionnels pour ce qui concerne les modalités détaillées des contrôles à effectuer. 3. S’agissant des installations de consommation Pour le raccordement au réseau public de distribution, c’est l’arrêté du 17 mars 2003 qui fixe les conditions de conception et de fonctionnement. Pour le raccordement au réseau public de transport, c’est l'arrêté du 4 juillet 2003 qui fixe les conditions de conception et de fonctionnement. Le contrôle des installations de basse tension raccordées au réseau de distribution reste régi par les articles D342-18 et suivants du code de l’énergie. Sécurité d'approvisionnement en électricité Interconnexions électriques – manuel des procédures

Article18 (article L. 311-8-1 du code de la consommation) - Obligation de proposer effectivement un crédit amortissable pour les achats de plus de 1 000 euros conclus sur le lieu de vente et en vente à distance. Article 19 (article L. 311-16 du code de la consommation) - Suppression d'expressions ambiguës.
Masterclass Role playVous avez toujours entendu le mot RP sans jamais vraiment savoir ce que c'était ? On vous donne toutes les cartes pour être incollable sur le RP dans les jeux videosMasterclass Role Play - Part 1Masterclass Role Play - Part 2Masterclass Role Play - Part 3 Selonle 3° de l’article L. 121-2 du Code de la consommation, une pratique commerciale est également trompeuse lorsque la personne pour le compte de laquelle la pratique est mise en œuvre n’est pas clairement identifiable. De manière complémentaire, l’article R. 310-5 du Code des assurances7 pose notamment des
l'application des dispositions de l'article R. 224-22, on entend par pièces issues de l'économie circulaire 1° Les composants et éléments qui sont commercialisés par les centres de traitement de véhicules hors d'usage VHU agréés mentionnés au 3° de l'article R. 543-155 du code de l'environnement ou par des installations autorisées conformément aux dispositions de l'article R. 543-161 du même code, après avoir été préparés en vue de leur réutilisation au sens des dispositions de l'article L. 541-1-1 de ce code ; 2° Les composants et éléments remis en état conformément aux spécifications du fabricant commercialisés sous la mention “ échange standard ” telle que définie à l'article 4 du décret n° 78-993 du 4 octobre 1978 pris pour l'application de la loi du 1er août 1905 sur les fraudes et falsifications en matière de produits ou de services en ce qui concerne les véhicules automobiles. composants et éléments énumérés au I sont commercialisés sous réserve de respecter la réglementation spécifique les régissant, ainsi que l'obligation générale de sécurité définie par l'article L. 421-3.
ArticleL121-24 du Code de la consommationfrançais: Est interdite toute forme de publicit? ou de communication proposant une remise ou une r?duction annulant ou r?duisan Article L121-24. Par Paul Benelli et Virgile Servant Volquin euros. C’est le montant de la transaction que Nabilla Benattia a conclu avec la DGCCRF Direction générale de la Concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes pour une opération d’influence litigieuse diffusée en 2018. L’influenceuse avait fait la promotion d’un service de formation au trading de crypto-monnaies proposé par un site internet sans mentionner explicitement que cette communication était intéressée et non pas le fruit d’une expérience personnelle. Selon l’autorité, cela est assimilable à une pratique commerciale trompeuse. Nabilla a coopéré avec la DGCCRF pour aboutir à cette transaction d’un montant calculé par rapport aux bénéfices retirés de l’opération. Elle s’est d’ailleurs fendue d’un tweet sur le réseau social Twitter pour justifier ses actions L’absence d’un statut spécifique Influenceur L’influenceuse a raison de signaler que son activité ne dispose pas d’une réglementation stricte ». Pour rappel, une activité réglementée est une activité pour laquelle une loi ou un règlement détermine les conditions d’accès, d’exercice ou d’exploitation. Dans le domaine des médias, les activités suivantes sont réglementées La production, distribution, importation et exportation de films L’établissement et l’utilisation des stations radioélectriques privées L’activité d’influence, depuis son lancement en 2011/2012, a connu depuis un véritable boom économique. En 2021, le marché de l’influence est estimé à 15 milliards d’euros et est en voie de consolidation. En effet, selon une étude de L’Argus de la Presse Un internaute sur trois suit au moins un influenceur sur les réseaux sociaux Trois followers sur quatre ont déjà effectué un achat sous influence » 62% des followers ont entre 18 et 24 ans La jeunesse du public, qui délaisse d’ailleurs les médias traditionnels comme la télévision au bénéfice des réseaux sociaux pourrait pousser le législateur à se pencher sur la question et à encadrer plus strictement les acteurs du secteur. En l’absence de réglementation dédiée, il est important de prévoir très spécifiquement dans les contrats de partenariat les obligations des parties et notamment de l’influenceur. Nous vous détaillons les points cruciaux de la rédaction d’un contrat de partenariat dans cette vidéo L’application du code de la consommation au marketing d’influence Ce qu’oublie Nabilla Benattia, c’est qu’en dépit de l’absence d’un statut spécifique, les autres dispositions protectrices des consommateurs trouvent toujours à s’appliquer. A ce titre, il faut bien sûr rappeler que les influenceurs sont susceptibles d’engager leur responsabilité pour les contenus qu’ils publient. L’influenceur a par exemple Une obligation de transparence quant au caractère publicitaire du contenu qu’il diffuse Une responsabilité liée au contenu diffusé L’Autorité de régulation professionnelle de la publicité a par ailleurs publié le 12 septembre 2019 une infographie identifiant les bonnes pratiques à adopter en tant qu’influenceur, en collaboration avec son adhérent Influence4You. Ainsi, la non-mention du caractère publicitaire d’un post sur un réseau social expose l’influenceur à deux ans d’emprisonnement et euros d’amende. En effet, l’article L121-3 du code de la consommation prévoit que Une pratique commerciale est également trompeuse si, compte tenu des limites propres au moyen de communication utilisé et des circonstances qui l'entourent, elle omet, dissimule ou fournit de façon inintelligible, ambiguë ou à contretemps une information substantielle ou lorsqu'elle n'indique pas sa véritable intention commerciale dès lors que celle-ci ne ressort pas déjà du contexte. » C’est sur ce fondement que la DGCCRF a sanctionné Mme Nabilla Benattia. L’amende retenue - la première pour ce type de situation - semble être proportionnelle au produit de l’opération, mais il n’est pas impossible que les amendes tendent à être plus sévères, notamment en cas de récidive. Rajoutons que le caractère trompeur de la pratique commerciale est présumé par les juges depuis un arrêt de la Cour de cassation du 28 janvier 2020, dans un objectif affirmé de protection du consommateur. Des règles spéciales pour la publicité sur les produits financiers Précisons enfin que des règles supplétives ont vocation à s’appliquer pour certains types de publicité. Ainsi, en matière de produits financiers, ce qui se rapproche de la publicité diffusée par Nabilla Benattia, l’article L533-12-7 du Code monétaire et financier interdit tout sollicitation directe ou indirecte par voir électronique pour les produits présentant une des caractéristiques suivantes Lorsque le risque maximal lié à ce produit n’est pas connu lors de sa souscription Lorsque le risque de perte est supérieur au montant de l’apport financier initial Lorsque le risque de perte rapporté aux avantages éventuels correspondants n’est pas raisonnablement compréhensible au regard de la nature particulière du contrat financier proposé. La diffusion par un influenceur d’un post publicitaire sur un produit financier de crypto-monnaies, qui est susceptible de présenter un des caractères susvisés, l’expose à un risque juridique accru. A fortiori s’il dissimule la société qui l’a commandé… De manière analogue, la publicité en matière d’alcool, de tabac, de médicaments et de produits dérivés reste fortement encadrée. Il convient à chacun de s’interroger sur les règles spécifiques applicables à certains produits pour limiter le risque lors de la diffusion d’un post sponsorisé. *** Vous vous interrogez sur les droits et obligations des influenceurs ? Vous souhaitez obtenir davantage d’informations quant au régime de responsabilité applicable aux professionnels du marketing ? Vous souhaitez conclure un contrat de partenariat avec un influenceur ? Pour être accompagné dans vos démarches ou pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à contacter le Cabinet HAAS Avocats ici. . 116 279 320 736 453 299 777 561

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