Connaîtrele contexte pour partir vivre en Arabie saoudite. Avant d’envisager de vivre en Arabie Saoudite, il faut savoir que la chute du baril du pétrole a eu un impact sur l’économie du pays puisque les recettes pétrolières représentent plus de 90 % des revenus de l’Etat.. Pour financer son budget, le pays a donc baissé ses subventions, en particulier
Un blogueur saoudien a reçu vendredi 50 coups de fouet près d'une mosquée de Jeddah après avoir été condamné par la justice pour "insulte à l'islam", ont rapporté plusieurs témoins. Raef Badawi, 30 ans, a été fouetté en public devant une foule de fidèles après la prière hebdomadaire près de la mosquée al-Jafali, selon ces témoins. Emprisonné en 2012, Raef Badawi a été condamné en novembre à dix ans de prison et coups de fouet à être répartis sur 20 semaines. Il a été conduit sur place dans un véhicule de la police. Un fonctionnaire des forces de l'ordre a ensuite lu devant la foule la sentence du tribunal. Le blogueur a été placé debout, dos à la foule, et un autre homme s'est mis à le fouetter, en retenant ses foule a assisté en silence à la scène. Les forces de l'ordre ont signifié aux fidèles présents qu'ils était formellement interdit de prendre des photos. Le blogueur a reçu le prix de Reporters sans frontièresM. Badawi est l'animateur du site internet Liberal Saudi Network et lauréat 2014 du prix Reporters sans frontières RSF. Le département d'Etat américain s'est insurgé dans un communiqué jeudi contre une "punition inhumaine". "Le gouvernement des Etats-Unis appelle les autorités saoudiennes à annuler cette punition brutale et à réexaminer le dossier de Badawi et sa condamnation", a insisté la porte-parole de la diplomatie américaine, Jennifer dénonce aussi une "condamnation inhumaine, contraire au droit international" et a lancé une pétition appelant le roi Abdallah d'Arabie saoudite à accorder sa grâce à Raef Badawi. Les Etats-Unis et l'Arabie saoudite sont de très proches alliés. Washington exprime toutefois de temps à autres des critiques sur la situation des droits de l'homme dans cette monarchie du Golfe. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info Hormisle week-end hongrois (où Esteban Ocon s'était imposé début août), Alpine et ses deux pilotes sont en train de vivre les plus belles heures de leur année 2021.Il y a dix jours, l Depuis cinq mois, 56 000 salariés n'ont pas été payés. Le cas est peu courant en Arabie saoudite. Mais la situation financière de Saudi Oger, pourtant longtemps l'un des fleurons du BTP dans le royaume, juste derrière le Saudi Binladen Group, ne lui permet plus de régler ses nombreuses dettes. Parmi les salariés, 250 familles d'expatriés français se retrouvent dans une situation extrêmement préoccupante, à la fois, pour certains, dans l'impossibilité de quitter le pays, car privés de visa, et aussi privés de source de revenus. Plusieurs sous-traitants français sont aussi concernés, avec des factures pour des chantiers terminés qui sont parfois en souffrance depuis plusieurs de ressources et sans permis de travailLa faute, de la bouche des employés, à une mauvaise gestion de l'actuel dirigeant de l'entreprise, Saad Hariri, le fils de l'homme d'affaires Rafic Hariri. Celui-ci, très proche de la famille royale saoudienne et, avait fondé le groupe il y a trente-huit ans. Son assassinat en 2005 a poussé son fils à reprendre les rênes du groupe au pied levé. Depuis, rien ne va plus. Ainsi, la King Abdullah Road, l'une des plus importantes avenues de Riyad, et l'université de la Princesse-Noura, deux projets phares du pays, ont été livrés avec trois ans de retard », indique Robert*, un ancien chef de chantier. Pour éviter la faillite, le roi Abdallah bin Abdel Aziz aurait injecté 2 Mds$ 1,82 Md€ dans la société... Il était temps que tout cela se sache, lance Patrick*, 47 ans, qui travaille encore pour Saudi Oger. La crise couvait depuis cinq ou six ans. Mais personne n'osait en parler, de peur, sans doute, de perdre son emploi ou de se faire expulser. » Depuis deux semaines, les langues se délient. Ce n'est plus tenable pour moi et ma famille, reprend Patrick. Il faut savoir que l'entreprise payait tout, le loyer, l'école, la crèche... Là, nous n'avons plus rien pour vivre. » Avec sa famille, il a décidé de rentrer en France dès le mois prochain, après plus de vingt ans passés en Arabie 43 ans, est mère de quatre enfants. Son mari, François, 48 ans, travaille chez Saudi Oger depuis douze ans. Notre compte bancaire est bloqué, explique-t-elle. Nous ne pouvons plus retirer d'argent. Le réfrigérateur est vide. Les dettes s'accumulent. Impossible désormais d'assurer le crédit pour notre maison en France. » Le couple qui s'est vu retirer son iqama, le permis de travail accordé par les autorités saoudiennes tient grâce à la solidarité organisée autour d'eux dans le compound résidence pour expatriés où ils de France à Riyad, Bertrand Besancenot, a réagi fin novembre en adressant deux lettres à Saad Hariri. Celui-ci a répondu le 17 février, pour informer qu'un premier salaire avait été versé aux employés, correspondant au mois de septembre 2015. Dès ce mois de février, précise le courrier, dont notre journal a obtenu une copie, les salaires seront versés dans les premiers jours du mois suivant et le règlement des arriérés sera échelonné sur le trimestre à venir. » Les 250 familles et les sous-traitants français, qui ne souhaitent pas s'exprimer, sont désormais suspendus à ces versements.

vivreen arabie saoudite. Exactement mais quand tu dis ca tu passe pour une parano qui fait des préjugés la réalité est parfois dur à admettre CitationRebeka* a écrit: Laisse le rêver, comme tout ceux qui y s

Au grand pèlerinage près de la Mecque, les pèlerins lapident symboliquement Satan Publié le Mardi 20 Juillet 2021 à 15H16 / Actualisé le Mardi 20 Juillet 2021 à 15H25 Des fidèles participant au grand pèlerinage annuel en Arabie saoudite ont entamé mardi le rituel de lapidation de Satan en version très réduite en raison du Covid, au premier jour de l'Aïd al-Adha, la fête du sacrifice célébrée par les musulmans dans le monde entier. Dès l'aube, les pèlerins ont été autorisés à accéder par dizaines au site de Mina, vallée désertique située à environ cinq km de La Mecque, selon une journaliste de l'AFP. Des fidèles participant au grand pèlerinage annuel en Arabie saoudite ont entamé mardi le rituel de lapidation de Satan en version très réduite en raison du Covid, au premier jour de l'Aïd al-Adha, la fête du sacrifice célébrée par les musulmans dans le monde entier. Dès l'aube, les pèlerins ont été autorisés à accéder par dizaines au site de Mina, vallée désertique située à environ cinq km de La Mecque, selon une journaliste de l'AFP. Équipés de masques et vêtus de pièces de tissu blanc non cousues, ils ont procédé à la lapidation des stèles représentant Satan avec des cailloux fournis par les autorités dans des sacs fermés, par mesure de précaution. En raison de la pandémie, seuls Saoudiens et étrangers résidents dans le royaume et vaccinés ont été autorisés à participer cette année au grand pèlerinage, le hajj. Ils étaient quelque 2,5 millions en 2019, un rassemblement religieux considéré comme l'un des plus grands au monde. "Depuis le début, notre priorité est la sécurité des pèlerins, et c'est pour cette raison que nous avons décidé de limiter leur nombre à pour nous assurer que les précautions sont appliquées et que tout le monde est en sécurité", a déclaré à l'AFP le ministre saoudien de la Santé, Tawfiq Al Rabiah. "Nous surveillons la situation en permanence", a-t-il encore dit lundi soir, ajoutant qu'aucun cas de coronavirus n'avait été détecté jusqu'ici parmi les pèlerins. Le contraste avec les années qui ont précédé la pandémie est saisissant les pèlerins utilisaient alors des cailloux qu'ils ramassaient eux-mêmes, avant d'affluer en grand nombre vers site de lapidation. Une fois le rituel de la lapidation terminé, les fidèles doivent se rendre à la Grande Mosquée de La Mecque pour un "tour d'adieu" à la Kaaba, édifice cubique dans lequel est incrustée la Pierre noire, relique sacrée des musulmans. - "Tour d'adieu" - La télévision publique "Arabie saoudite Coran" a diffusé des images montrant des larges groupes de pèlerins déjà à la Kaaba pour le "tour d'adieu". Le grand pèlerinage se déroule cette année à un moment où les variants du virus inquiètent. L'Arabie saoudite a enregistré au total plus de cas dont décès. Le hajj est l'un des cinq piliers de l'islam que tout fidèle doit accomplir s'il en a les capacités physiques et financières. Les heureux élus pour cette année ont été choisis parmi résidents et nationaux saoudiens qui devaient avoir entre 18 et 65 ans, être vaccinés et ne pas souffrir d'une maladie chronique. Tous les employés mobilisés pour le grand pèlerinage ont aussi été entièrement vaccinés, selon les autorités. "Les efforts du royaume pour limiter les effets du coronavirus ont été couronnés de succès", a déclaré lundi le roi Salmane d'Arabie saoudite, dans un discours diffusé par la chaîne de télévision publique Al-Ekhbariya. Les précautions prises par le royaume "ont permis aux pèlerins d'accomplir le hajj", a-t-il ajouté. Près du site de lapidation à Mina, Lina, une Syrienne de 38 ans, a déclaré à l'AFP vivre "le jour le plus heureux de ma vie. Toute ma vie j'ai rêvé d'accomplir le hajj. Je n'arrive toujours pas à croire que mon rêve est devenu réalité". Ahmed, pèlerin indien, la cinquantaine et travaillant comme ingénieur, a loué ce qu'il a appelé "l'une des saisons du hajj les plus sûres" qu'il a vue. En plus des mesures de distanciation sociale strictes, les pèlerins sont divisés en petits groupes lors de chaque étape du pèlerinage. Une "carte électronique du hajj" introduite par les autorités, permet un accès sans contact aux campings et hôtels pour pèlerins et aux transports vers les sites religieux. Et des robots sont utilisés pour distribuer des bouteilles d'eau sacrée. AFP
Vivreen Arabie saoudite. Présentation générale; Conseils aux voyageurs; Pèlerinage à la Mecque; S’installer en Arabie saoudite; Traducteurs agréés; Galeries; Médecins francophones ; Avocats francophones; Sécurité des Français; Aller en France. Visiter la France; La France en Europe; Vivre en France; Se soigner en France; Visas ; Pour la Saoudienne Asma, passer une journée à la mer avec son copain était quasiment impensable dans son pays ultraconservateur. Mais aujourd'hui, sur une plage de l'ouest du royaume, cette femme de 32 ans se réjouit de pouvoir vivre une vie "normale". "Je suis heureuse de pouvoir venir à la plage près de Jeddah et de passer du bon temps. C'est un rêve", confie-t-elle, vêtue d'un maillot de bain encore mouillé couvert par un t-shirt bleu. Depuis quatre ans, le riche Etat pétrolier s'est lancé, sous la houlette du prince héritier Mohammed ben Salmane, dans une campagne de réformes économiques et sociales pour adoucir son image austère et ultraconservatrice. Les femmes ont été autorisées à conduire, les cinémas ont rouvert et la mixité a été permise lors des événements sportifs ou musicaux. Mais cette ouverture s'est accompagnée d'un verrouillage implacable contre les critiques du pouvoir du prince héritier, et de nombreuses militantes des droits des femmes sont détenues ou dans le collimateur de la justice. Un parc aquatique gonflable à Pure Beach, le 17 septembre 2021 Jeddah, en Arabie saoudite AFP - Fayez NURELDINE A Pure Beach, plage mixte située à une centaine de kilomètres de Jeddah, grande ville de l'ouest du royaume réputée la plus ouverte du pays, il est possible d'oublier un temps qu'on est en Arabie saoudite. Pour Asma, l'ouverture en août de Pure Beach est tout simplement un signe que "la vie devient normale" dans ce pays "avant elle ne l'était pas". Moyennant un billet d'entrée à 300 riyals environ 70 euros, les femmes peuvent aller se baigner dans les eaux turquoises de la mer Rouge en bikini. Hommes et femmes peuvent fumer la chicha sur le sable blanc ou encore y promener leurs animaux domestiques. Mais l'alcool reste officiellement interdit comme ailleurs en Arabie saoudite. La plage de Pure Beach se transforme en piste de danse la nuit, le 17 septembre 2021 à Jeddah, en Arabie saoudite AFP - Fayez NURELDINE Il n'est pas nécessaire pour les couples de présenter un certificat de mariage à l'entrée, comme c'est souvent le cas dans d'autres lieux comme les hôtels. Mais les fêtards sont priés de déposer à l'entrée leur téléphone portable, pour veiller au respect de la vie privée de tous, explique un responsable à King Abdullah Economic City, ville nouvelle où se trouve Pure Beach. - "Paradis" - Après le coucher du soleil, la plage se transforme en boîte de nuit à ciel ouvert, avec des danseurs se déhanchant au rythme de musiques occidentales. Près d'eux, un couple s'embrasse. "J'étais surpris de trouver ce genre de liberté et d'ouverture. C'est comme aux Etats-Unis", raconte à l'AFP Mohammed Saleh, ingénieur récemment rentré au royaume après une dizaine d'années passées en Amérique. Une femme joue avec des cerceaux lumineux lors d'une fête à Pure Beach, à Jeddah, le 17 septembre 2021 en Arabie saoudite AFP - Fayez NURELDINE "Je n'imaginais pas participer à une beach party en Arabie saoudite", poursuit-il. Les Saoudiens devaient auparavant voyager à l'étranger, dans d'autres pays du Moyen-Orient ou en Europe, pour jouir de ce genre de liberté. "Il y a quelques années nous n'avions pas le droit d'écouter de la musique et d'aller à la plage, donc pour nous c'est un paradis", s'enthousiasme Hadil Omar, une Egyptienne qui a grandi en Arabie saoudite. Pure Beach n'est pas exclusivement destiné aux habitants du royaume mais cherche aussi à attirer des touristes, explique à l'AFP Bilal Saoudi, responsable événementiel à King Abdullah Economic City. La plage de Pure Beach se transforme en piste de danse la nuit, le 17 septembre 2021 à Jeddah, en Arabie saoudite AFP - Fayez NURELDINE L'Arabie saoudite a délivré ses premiers visas touristiques en 2019, et a annoncé vouloir attirer 30 millions de touristes chaque année d'ici 2030. Le développement du tourisme est un des piliers de "Vision 2030", l'ambitieux plan de réforme initié par le prince héritier pour réduire la dépendance de l'économie saoudienne au pétrole. "J'ai le sentiment de ne plus devoir voyager à l'étranger pour m'amuser car tout est désormais disponible ici", confie à l'AFP Dima, une jeune femme d'affaires saoudienne, en maillot de bain et t-shirt transparent.
Associationsfrançaises en Arabie saoudite; Aller en France Visas. Visas; Découvrir la France; La France en Europe; Étudier en France / Studying in France; Liens Utiles; Venir en Arabie Saoudite. Conseils aux voyageurs et résidents; Français de passage en Arabie; Grippe saisonnière; S’installer / Vivre en Arabie; Pèlerinage à la Mecque
Imprimer Facebook Twitter L’équipe du consulat vous propose une nouvelle version du livret d’accueil, mis à jour pour vous aider davantage dans votre installation en Arabie Saoudite. Ce guide est destiné à vous apporter des conseils pratiques en vue de votre adaptation à ce nouvel environnement ainsi que des contacts pour vous lier à la communauté française résidente à Djeddah. Il est enrichi des remarques et expériences des lecteurs qui font de ce livret un guide interactif et concret. Livret d’accueil Djeddah - Edition de mai 2022 PDF - Mo Vous pouvez envoyer vos remarques concernant le livret directement à contact Des conseils aux voyageurs sont également disponibles sur le site du Ministère. Dernière modification 11/05/2022 Haut de page

EnArabie saoudite, 47 personnes sont condamnés à mort puis décapités et crucifiés le même jour Et La caravane passe euh non, la Formule 1 0

Arabie Saoudite Les Saoudiens qui décident de devenir chrétiens s'exposent à des brutalités. Ils deviennent des parias si leur nouvelle foi est découverte. L’Arabie Saoudite est une monarchie dirigée par la famille Al Saoud selon les principes de l’islam sunnite. Il s’agit d’un régime très répressif. De nombreux opposants politiques et intellectuels sont actuellement derrière les barreaux. Les vagues d’arrestations se sont multipliées depuis que Mohammed ben Salmane est aux commandes du pays. Les Saoudiennes ont tout de même obtenu de nouveaux droits. Situation des chrétiens L’Église est composée principalement de travailleurs étrangers venus d’Asie, d’Afrique, du Moyen-Orient ou d’Occident. Ils n’ont pas le droit d’exprimer publiquement leur foi. Il n’y a pas de bâtiment d’église officiellement reconnu. Les chrétiens sont très limités dans leur droit de réunion, c’est pourquoi ils se réunissent secrètement les uns chez les autres. S’ils sont découverts, ils risquent d’être arrêtés et expulsés. Cependant leur nombre grandit et ils osent de plus en plus parler de leur foi sur internet et sur les chaînes satellitaires. Les quelques chrétiens d’arrière-plan musulman saoudiens sont en danger de mort. Taux de persécution par domaine L’Arabie Saoudite est l’un des seuls pays où les bâtiments d’églises sont interdits. Toute expression publique d’une autre foi que l’islam est prohibée. Les scores dans les domaines de la vie ecclésiale et de la vie civile sont donc particulièrement élevés. Les familles saoudiennes réagissent radicalement si elles découvrent la conversion au christianisme d’un de leurs membres passages à tabac, détentions à domicile, confiscations des passeports, gel des comptes bancaires… Le harcèlement sexuel des domestiques chrétiennes expatriées reste néanmoins la première forme de violence contre les chrétiens. Ces mauvais traitements, qui mêlent des motivations racistes et antichrétiennes, affectent des centaines de femmes. Géographie de la persécution Le niveau de persécution est sensiblement le même dans tout le pays, le contrôle social de la communauté sur la conduite religieuse de ses membres étant particulièrement fort dans les zones rurales. Seuls les expatriés occidentaux subissent moins de pression à adhérer aux normes islamiques. Histoire de l'Église dans le pays Jusqu’au VIe siècle, la Péninsule Arabique comptait beaucoup de synagogues et d’églises. Puis, au VIIe siècle, les Juifs et les chrétiens ont été obligés de se convertir à l’islam, ceux qui refusaient ont fui le pays ou ont été tués. Ces derniers temps, le christianisme a été réintroduit dans le pays par les immigrés chrétiens venus principalement d’Afrique et d’Asie. Autres groupes religieux persécutés Musulmans chiites, hindous, bouddhistes. Faits de persécutions
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